De l’empire du mensonge

“Seuls les petits secrets ont besoin d’être protégés. Les grands sont protégés par l’incrédulité publique.”

Article original de Martin Geddes  publié le 16 mai 2022 sous le titre « 9/11, Apollo, Covid- Lies, lies, lies ».

Traduit de l’anglais par Stanislas Berton

“Le 7 septembre 2001, j’étais en voyage d’affaires à New-York en tant qu’employé de Sprint. Il faisait un beau ciel bleu et je me souviens d’avoir laissé mon regard se perdre vers Broadway, le sud de Manhattan et les tours jumelles du haut d’un gratte-ciel de Times Square. Quatre jours plus tard, j’étais en train de faire une randonnée dans le Zion National Park quand le monde bascula dans la folie.

Pendant des années, je n’eus aucune raison de contester la version officielle que j’avais acceptée sans discuter. Je connaissais l’existence des « théories du complot » et des points de vue alternatifs mais je les considérais comme minoritaires et sans importance. Mon existence était occupée par ma carrière, mes jeunes enfants et des fractures personnelles.

Les guerres illégales et illégitimes d’Irak et d’Afghanistan me donnèrent matière à réflexion. Je me souviens avoir donné le bénéfice du doute à Tony Blair concernant l’Irak et rejeté l’affirmation des manifestants pour la paix, à savoir que les preuves de l’existence des armes de destruction massive avaient été fabriquées de toutes pièces. De toute évidence, j’avais tort et je m’étais fait avoir.

Aux alentours de 2010, je me suis à nouveau penché sur l’histoire du 11 septembre et j’ai commencé à m’intéresser aux critiques de la version officielle. Plus je creusais, plus mon inquiétude grandissait. Je ne pouvais pas être certain de ce qui s’était réellement passé, ni savoir qui était vraiment derrière les attaques, ou bien déterminer quel était leur véritable motif mais il m’était impossible de concilier les données brutes avec la version officielle.

Pour accepter cette version, il aurait fallu que j’ignore des anomalies absolument incroyables. Les tours jumelles se seraient écroulées en chute libre, se transformant en poussière en chemin et en laissant un petit tas de débris (comparé à leur taille) recouvrant de la roche fondue qui mit des mois à se refroidir. Le modèle suggéré d’un effondrement progressif viole la loi de conservation de la quantité de mouvement.

De façon toute aussi incroyable, le WTC7 s’est également effondré sur lui-même à cause de « feux de bureau », l’effondrement ayant été annoncé sur le BBC avant qu’il ne se produise. Un modèle d’ingénierie secret a été utilisé pour justifier cet événement aussi unique qu’improbable. Le corps de bâtiment principal du WTC6 a purement et simplement disparu mais cela ne doit pas être considéré comme quelque chose d’important. Tous les débris de la scène du crime furent emportés en Chine pour être stockés plutôt que conservés sur place dans le cadre de l’enquête. [lien]

Il existe des preuves d’explosifs préinstallés et il est possible d’en voir certains exploser de façon prématurée en-dessous des étages en train de s’effondrer. De nombreux témoins visuels affirment avoir vu des explosions avant l’effondrement. La trajectoire des « avions » est improbable et ceux-ci n’ont laissé que très peu de débris. Les tours étaient spécialement conçues pour encaisser ce type d’impact et pourtant, elles échouèrent toutes deux de la même façon à y résister.

Pendant ce temps, au Pentagone, un autre « avion » a magiquement glissé sur l’herbe pour disparaitre dans un trou plus petit que sa carlingue, sans aucune trace de l’impact des moteurs ou du fuselage. La section du Pentagone touchée était celle où se trouvait l’équipe qui travaillait sur le vol de trilliards de dollars annoncé la veille [lien]. Le « crash » en Pennsylvanie n’a laissé également laissé aucun débris visible, ce qui doit être une autre coïncidence. [lien]

En parlant d’argent, la preuve d’une fraude massive à l’assurance n’a bien sûr aucun rapport avec l’affaire. De même que tous les mouvements sur les marchés financiers qui constituaient autant de signes avant-coureurs de ce qui allait se produire. Et pourquoi se poser toutes ces questions de bon sens sur les aspects financiers ou militaires de l’événement, notamment tout ce qui pourrait concerner de près ou de loin à l’Arabie Saoudite? [lien] Et tout cela se produisit sous l’œil impuissant de l’armée qui n’envoya aucun avion de chasse pour intercepter quelque avion que ce soit. Et, une fois de plus, par le plus grand des hasards, toutes les caméras de surveillance du Pentagone étaient éteintes, ce qui permet d’éviter tout élément susceptible de remettre en cause la version officielle. Pourquoi donc ?

La commission d’enquête, marquée par les partis-pris et le manque de ressources, ignora de multiples objections soulevées par des militaires, des pilotes, des ingénieurs et des membres des premiers secours (qui, de façon surprenante, furent nombreux à mourir de maladies associées à l’empoisonnement par des radiations). Le bouc-émissaire désigné comme responsable du crime fut accepté comme tel dès le premier jour et sans aucune discussion. Aucune théorie alternative ne fut considérée.

Malheur à qui oserait penser qu’il s’agissait là d’un événement prévu de longue date, d’autant plus qu’il fut suggéré pendant des décennies par les médias de masse. Toute la symbolique occulte qui entoure l’événement, notamment la lecture par George Bush du livre, « My Pet Goat », [NdT :Ma petite chèvre, un livre pour enfants] est bien entendu sans importance. Nous devons naturellement accepter que les deux guerres et les millions de morts qui ont découlé de la version officielle représentent un prix à payer pour notre liberté.

Avec le recul, il est difficile de comprendre comment quiconque peut prendre la version officielle au sérieux tant elle est ridicule et pleine d’incohérences. Mais une décennie plus tard, j’avais encore moi-même du mal à l’accepter car rejeter cette version posait deux problèmes majeurs. Le premier était que cela aurait signifié que notre perception collective de la réalité était fausse et que, bien que notre système de gouvernement fusse criminel et corrompu jusqu’à la moelle, la plupart des gens lui faisaient encore confiance. Le second était que cet état de fait ne suscitait aucune objection de la part des membres non corrompus de l’armée et qu’il n’existait aucune opposition capable de chasser ces criminels du pouvoir.

Taraudé par ces questions, je gardais mes idées pour moi sans jamais les évoquer en privé ou au travail. Dans les années qui suivirent l’acceptation de ma première « théorie du complot », je participais à un travail de pointe sur les réseaux de télécoms [NdT : Martin Geddes est un professionnel mondialement reconnu des télécoms. Il occupa notamment le poste de directeur du département « Innovation et design » chez British Telecom.] Mes collègues étaient formés pour détecter les erreurs véhiculées par les conceptions généralement admises. Et pourtant, quand il me prit un jour l’idée de suggérer qu’il y avait tout de même des choses qui ne collaient pas dans l’histoire de la mission Apollo, ils me regardèrent comme si j’étais devenu complètement fou.

Si vous voulez creuser le sujet des missions sur la Lune, je vous suggère la remarquable série d’articles “Wagging the Moondoggie” par le regretté Dave McGowan. Une fois que l’on rentre dans le vif du sujet, c’est très bien écrit et franchement drôle. Si l’histoire du 11 septembre est tragiquement absurde, celle du programme Apollo est au-delà de comique. Je n’arrive pas à imaginer comment il est possible de présenter la version officielle à une personne rationnelle et raisonnable et que celle-ci la prenne au sérieux.

Pour accepter cette version, il faut, une fois de plus, ignorer un grand nombre d’anomalies. Après avoir été battus dans les grandes largeurs par les Soviets dans la course aux étoiles et gênés par le poids de la guerre du Vietnam, les Américains auraient réussi à sortir ce coup d’éclat du chapeau, juste au bon moment. Un équipement jamais testé en situation et semblant tout droit sorti de chez Bricomarché serait parvenu à effectuer, du premier coup, une succession parfaite de décollages et d’atterrissages sur un autre corps céleste, y compris réussir un rendez-vous avec un module en orbite volant à des milliers de kilomètres par heure. 

Tout cet équipement datant des années soixante – l’électronique, les caméras, le matériel de communication, les batteries, les respirateurs, le système de refroidissement, les sas d’accostage, les lits, les toilettes, les lieux de vie – serait parvenu à tenir dans l’équivalent d’un monospace. Plus incroyable encore, ils trouvèrent par la suite de la place pour ajouter un véhicule entièrement pliable ! Malheureusement, toutes les données de la mission ainsi que les designs pour cet origami de génie ont été « mal rangées ou perdues ». [lien]

À ce sujet, vous êtes priés de croire qu’aller sur la Lune n’était qu’une aventure sans lendemain et que les progrès technologiques accomplis n’ont servi à rien. Au lieu de devenir une réalité triviale et quotidienne, aller sur la Lune nécessiterait des compétences « oubliées » qu’il serait impossible d’acquérir à nouveau dans un délai ou un budget raisonnables. Pendant ce temps, Stanley Kubrick était très occupé, juste au bon moment, par un projet secret.

À quel point faut-il être crédule pour accepter de telles foutaises sans se poser de questions ?

Et bien il semblerait que cette qualité soit fort répandue. Nous avons vu exactement le même mécanisme à l’œuvre avec le Covid. Un virus (dont il n’a pas encore été prouvé de façon satisfaisante qu’il existe) apparaît soudainement et la réponse appropriée est… la suppression totale de toutes les libertés publiques et une campagne mondiale de terreur. Les moyens normaux de renforcer le système immunitaire (comme la Vitamine D) sont ignorés, des solutions efficaces et peu coûteuses de combattre la maladie (comme l’Ivermectine) sont dénigrées et difficiles à obtenir.

Pendant ce temps, des masques qui génèrent de la peur sont rendus obligatoires, en dépit du fait qu’il n’existe aucune preuve de leur efficacité et que leur usage comporte un risque pour la santé (comme l’hypoxie et la pneumonie). Les personnages âgées sont assassinées avec du Rivotril dans les EHPAD, les patients dans les hôpitaux avec du Remdesivir, les emplois et la santé mentale sont détruits avec des confinements. Tout le monde est encouragé à rester chez soi et à éviter toute socialisation. Tout cela est fait au nom de la santé publique.

Ensuite, une thérapie génique en phase expérimentale conçue par des escrocs notoires [lien] est présentée comme la seule solution, en dépit des preuves manifestes de fraude à chaque étape des tests. Aucune donnée sur les effets à long terme n’est disponible, l’éthique médicale de base est ignorée et la vaccination est présentée comme un geste civique alors même que ses concepteurs affirment qu’elle ne réduit ni la transmission, ni l’infection. Le produit est ensuite offert aux enfants, qui ne constituent pas une population à risque, malgré un doute raisonnable de son impact sur la fertilité ou celui de l’ARN sur l’ADN.

Le 11 septembre, Apollo, Covid, trois hallucinations collectives parmi bien d’autres. La dernière décennie a été pour moi une période très étrange. Une fois que vous prenez conscience que la « normalité » est un asile de fous, vous ne pouvez plus revenir en arrière. Quand un pan du système psychologique conçu pour vous piéger s’effondre, cela vous conduit à remettre en question de plus en plus de choses et à découvrir que des aspects importants de ce « consensus sur le réel » sont fondés sur des mensonges et en conséquence, de vous retrouver de plus en plus coupé de ceux qui veulent croire en ces contes de fées. Peu à peu, j’ai fini par comprendre comment ces hallucinations collectives fonctionnent.

Premièrement, l’absurdité et le culot du mensonge sont des fonctionnalités et non des bugs. Une fois que les gens ont accepté ce qui est manifestement impossible, ils ressentent de façon inconsciente la honte d’avoir été piégés. Ce qui compte pour eux c’est ce que « tout le monde sait », c’est-à-dire ce qu’ils croient que les autres croient. En tant qu’êtres sociaux, il est considéré comme plus important de faire partie du groupe que de prendre le risque d’être isolé et ostracisé.

Deuxièmement, mettre en évidence le problème provoque une blessure à l’égo de la personne trompée. Un système de contrôle social auto-entretenu maintient le mensonge en vie, afin que l’orgueil ne soit pas blessé. Ceux qui remettent en cause la version officielle et soulignent ces anomalies sont ignorés, rejetés ou tournés en ridicule. Plus le mensonge perdure, plus sa longévité constitue une preuve de sa légitimité.

Troisièmement, notre société n’est pas favorable aux dissidents. La censure est implicitement célébrée quand elle frappe ceux qui remettent en cause la version officielle. Les termes du débat entre gens « raisonnables » place le mensonge hors du champ de la discussion. La curiosité, l’ouverture d’esprit et la possibilité de se tromper sont célébrées en paroles mais une culture du narcissisme généralisé les rend impuissantes à agir en profondeur sur la société.  

J’espère qu’avoir partagé mon cheminement intellectuel de « complotiste » sera utile à d’autres. J’ai appris à ne pas me soucier des opinions bien arrêtées de personnes qui n’ont jamais examiné les données, ne se sont pas débarrassées de leur besoin d’avoir toujours raison ou n’ont jamais osé admettre la possibilité que les forces du mal soient à l’œuvre dans le monde. Je m’attends à ce que ces trois énormes mensonges, et bien d’autres, soient révélés en temps voulu et que la vérité n’ait plus besoin de personne pour la défendre, moi compris.”

Note du traducteur :

1) Si les complots révélés ici n’ont, au final, que peu d’impact sur notre vie quotidienne, leur révélation sert principalement à mettre en évidence la capacité de manipulation à grande échelle de l’opinion publique par les médias, les politiques et les « experts », jusqu’à la création d’une véritable réalité parallèle dans laquelle se trouvent emprisonnés les peuples.

2) La capacité à admettre ou à rejeter les complots n’est en aucun cas liée au niveau d’études, à l’intelligence ou au statut social. Les principaux facteurs sont en réalité la tolérance au risque d’exclusion par le groupe (non-conformisme) et la capacité à se détacher émotionnellement d’une idée pour l’analyser de façon objective. Dans les deux cas, le facteur déterminant est la présence d’un véritable esprit critique et l’existence d’une réelle confiance en soi.

3) Au sein d’un groupe humain, il existe toujours une petite proportion d’individus chez qui la quête de la vérité ou de toute autre valeur absolue prend le pas sur le risque d’ostracisation sociale. C’est au sein de cette population que l’on trouve les découvreurs, les pionniers et tous les esprits capables de concevoir des changements de paradigme. Un système social efficace met les compétences uniques de ces profils au service du groupe. Un système inefficace et dysfonctionnel les censure, les étouffe et les condamne à la marginalité.

Totalement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.

Pour aller plus loin:

Center for an Informed America (9/11 et Apollo)  

De la désinformation

Du déni des complots

Des bonnes questions (Geddes)

De l’Intellectuel-Mais-Idiot (Taleb)

Tweet du porte-parole du Ministère chinois des Affaires Étrangères

Interview de Thomas Pesquet (France 2)

Interview Buzz Aldrin (“Nous n’y sommes pas allés”)

Buzz Aldrin

Des quatre années de guerre

Extraits de l’article publié le 10 juillet par Martin Geddes sous le titre « WWG1WGA: Four Years Of War ».

Traduit de l’anglais par Stanislas Berton

[…]

En relisant l’article original [NdT: il s’agit de l’article WWG1WGA: The Greatest Communications Event In History écrit par Martin Geddes en 2018 et republié le 7 juillet 2022 ], je suis frappé par sa « naïve lucidité». Durant de nombreuses années, j’avais travaillé dur pour me former une image juste de ce qui se passait dans le monde et j’avais bûché pendant plusieurs jours afin de produire un texte aussi clair et percutant que possible. Le résultat est satisfaisant et constitue un bon résumé de ma vision du monde à ce moment précis, notamment le fait que la Deuxième Révolution Américaine était en train d’avoir lieu.

Je reviendrai par la suite sur la vision d’ensemble des événements mais avec le bénéfice de quatre années de recul, j’ai beaucoup appris. Bien que l’article original mentionne le trafic d’êtres humains, je n’avais pas encore saisi l’ampleur du phénomène où à quel point il joue un rôle crucial dans les opérations de nos classes dirigeantes. Ce sujet être devrait se trouver au cœur des analyses géopolitiques, ne serait-ce que dans le cadre des réseaux de chantage à la Jeffrey Epstein.

La question du trafic d’êtres humains dépasse largement celle du travail forcé ou des esclaves sexuels, elle recouvre également le trafic d’organes et leur collecte ainsi que les êtres humains utilisés comme nourriture ou sujets d’expérience. Mais la véritable pièce du puzzle qui me manquait était que ce phénomène ne concernait pas seulement une minorité de malheureuses victimes, même si celles-ci se comptaient en millions. La vérité est que tous les habitants du monde industrialisé, sont d’une manière ou d’une autre, victimes de cette traite.

Le trafic d’êtres humains est le cœur du problème

C’est une erreur d’analyse que de considérer les systèmes au sein desquels nous vivons comme étant victimes de “corruption”. J’ai fini par comprendre qu’ils n’étaient pas corrompus ; ils ont été conçus pour fonctionner de cette façon. Votre bien-être et vos intérêts ne sont à aucun moment pris en compte ; toute apparence du contraire n’est qu’un accident, une façade, un effet secondaire ou une erreur. Ce système total d’asservissement et d’esclavage humain inclut (mais n’est pas limité à) :

  • Le système juridique qui vous prive illégalement de vos droits naturels pour vous transformer de façon insidieuse en marchandises via le droit maritime ou commercial ;
  • Le gouvernement qui, en tant qu’entité privatisée et « élue » (par des élections truquées), organise un racket via l’impôt et met en place des « politiques » qui sont défendues par une « police » (et non des forces de l’ordre) sans aucun accord de notre part. Tout cela repose sur l’apparence d’un pouvoir maintenu par l’intimidation de ses victimes et l’enrichissement de ses bénéficiaires ;
  • La santé qui empoisonne volontairement les enfants avec des « vaccins » ne possédant aucun bénéfice avéré (et qui n’offrent pas de protection collective) afin de générer des revenus récurrents grâce aux traitements des maladies chroniques et de permettre, grâce à la surveillance des « corps connectés », le vol d’organes sur demande. Le meurtre récent des patients avec des médicaments ou la ventilation vous dit tout ce que vous avez besoin de savoir à ce sujet [NdT : Martin Geddes fait ici référence à l’administration du Rivotril dans les maisons de retraite et de la mise sous respirateur des patients Covid en 2020] ;
  • Le commerce de détail et la logistique qui servent de façade pour dissimuler le transport et la contrebande d’êtres humains ;
  • La finance qui vous dépouille du fruit de votre travail grâce à la gestion contrôlée des expansions, des dépressions, des faillites, de l’usure et de la monnaie fiduciaire inflationniste, tout en blanchissant les profits dans un petit nombre de centres financiers ;
  • Les médias et l’industrie du divertissement qui conditionnent le public pour lui faire accepter sa maltraitance, aimer ses bourreaux et rejeter toute personne qui dénonce cette opération de crime organisé comme un « complotiste » ;
  • L’éducation et le monde universitaire qui sont avant tout financés par le complexe militaro-industriel pour répondre à ses besoins et se comportent comme les gardiens du savoir « officiel », agissant de facto comme une police de la pensée totalitaire chargée d’endoctriner la prochaine génération ;
  • Les grandes entreprises technologiques (GAFA) qui sont la façade d’opérations de surveillance, de ciblage et d’ingénierie sociale gérée par des intelligences artificielles ;
  • L’énergie qui nous maintient volontairement dépendants de ressources fossiles présentées comme rares plutôt que d’utiliser des technologies déjà utilisées par l’armée ou ayant été censurées par la mafia au pouvoir [NdT : Sur ce point, lire par exemple, cet article sur la théorie de l’origine abiotique du pétrole] ;
  • L’eau et la nourriture qui ont été empoisonnés et dénaturés pour nous rendre faibles et plus facilement contrôlables, pour mieux nous vendre ensuite des médicaments conçus pour traiter le problème ;
  • L’armée qui a déployé tout un ensemble « d’armes silencieuses pour des guerres de l’ombre » contre les populations civiles pour mieux les contrôler, ainsi que les services de renseignement qui se maintiennent génération après génération au-dessus des lois.

Une infrastructure considérable vient soutenir toute cette horreur avec des preuves manifestes d’un réseau global de tunnels et de bases militaires pour déplacer les ressources, tandis que les porte-containers sont utilisés pour les mouvements à la surface. Des réseaux locaux de distribution font transiter les enfants destinés à être violés ou sacrifiés et certains éléments pointent vers un immonde « recyclage » des cadavres humains. Nous ne vivons pas dans la société que l’on nous a vendue. C’est moche.

Cette situation n’a pas surgi du jour au lendemain mais constitue le résultat de plusieurs centaines d’années d’accumulation graduelle d’un pouvoir occulte par la subversion, l’infiltration et la ruse. C’est pour cela que les Églises, qui sont censées être les gardiennes de la conscience, sont impitoyablement attaquées. Le vrai défi consiste à comprendre comment tous ces dispositifs sont connectés pour former un seul système de pouvoir. Il ne s’agit pas tant d’un « complot » que du cancer de la culture criminelle de divers réseaux parasites agissant de concert.

Un tel cauchemar ne peut pas être démantelé en quelques mois, ni même en quelques années. En effet, vous ne pouvez pas mettre une population face à la réalité des sacrifices rituels sataniques quand la plupart des gens ne sont pas prêts à accepter que leurs élections ont été truquées pendant des années et que les médias de masse sont une opération de propagande contrôlée. Les gens deviendraient complètement fous et la société s’effondrerait. Le remède ne peut pas être pire que le mal.

Tout faire selon les règles

Par nécessité, la vérité doit être plus étrange que la fiction : pour que « ça passe », les corrompus ont besoin que vous pensiez que le réel est inconcevable. Si vous m’aviez dit il y a quelques années que nous étions confrontés à des guerres dynastiques perpétrées par des transhumanistes obsédés par la généalogie et la numérologie, je vous aurai suggéré d’arrêter de prendre vos cachets et de les remplacer par des substances psychédéliques moins néfastes. Et pourtant, les choses sont ce qu’elles sont et, si vous acceptez de creuser, il existe des preuves solides venant étayer cette affirmation.

Ces dernières années ont donné aux plus courageux d’entre nous la possibilité de pénétrer dans l’espace mental des occultistes. Ce n’est pas mon domaine d’expertise et je me considère comme un novice en la matière. Le point le plus important à retenir est qu’il existe tout un langage secret utilisé au vu de tous et qui permet aux gens au pouvoir de communiquer entre eux. Vous pouvez par exemple voter une loi de financement et y inclure un montant qui possède une signification au-delà de sa valeur en euros ou en dollars. La date d’un attentat sous faux-pavillon correspond à la « signature de l’artiste ».

[…]

Peu importe si vous acceptez cela ou non, la réalité n’est pas un concours de popularité. A mon sens, la leçon la plus importante est que l’ésotérisme joue un rôle très important et sous-estimé dans la structure de notre société et qu’à dessein, cela n’est pas enseigné à l’école ! L’idée même que votre grande école ait pu vous donner les outils nécessaires pour identifier ce pouvoir occulte est tout simplement ridicule ; nos dirigeants se frottent les mains s’ils ont réussi à faire de vous un technocrate orgueilleux et arrogant (et je suis bien placé pour le savoir…)

Q, anons, and QAnon — une guerre de terminologie

En passant, cela vaut la peine de dire quelques mots à ce sujet, étant donné que l’article parle du « phénomène QAnon » ainsi que de « l’opération QAnon ». Il y  a là une erreur subtile mais importante. Au moment où j’ai écrit cet article [NdT : en 2018], le hashtag « Qanon » était utilisé pour identifier les échanges concernant les Q drops sur les réseaux sociaux. Depuis, le terme a fait l’objet d’un « piratage sémantique » par les médias afin de nuire à Q et aux anons. 

Selon moi, Q représente un contre-récit cohérent et structuré en opposition à la « version officielle ». Q se trouve dans le « brouillard » d’une guerre de l’information et doit être obtus car il est utilisé pour contourner les lois sur les communications directes avec le public [NdT : d’informations classées secret défense]. Les Q drops constituent une réalité objective même si tout est fait pour dissuader le public d’aller voir par lui-même de quoi il en retourne. (Indice : il s’agit d’une forme de contrôle mental et si vous n’êtes pas prêt à prendre en compte des données qui vont à l’encontre de vos croyances actuelles, il est possible que vous soyez dans une secte).

Le terme « Anon » recouvre un large spectre d’esprits libres avec une grande diversité d’opinions au sujet des messages de Q et engagés dans la collecte de renseignement en sources ouvertes. Ils ne forment pas un « esprit de ruche » et il n’est pas possible d’attribuer à l’ensemble du groupe une croyance définie. Des gens raisonnables peuvent avoir et ont des opinions différents sur les messages de Q, leurs objectifs, leur intégrité morale, leur sens, leur effet opérationnel et bien plus encore. (Indice : si l’esprit critique et la différence d’opinion ne sont pas tolérés, il est possible que vous soyez dans une secte.)

Le terme « Qanon » a été utilisé par les médias pour reprendre certaines idées de certains anons et de les associer aux messages de Q comme s’il s’agissait de la seule et unique interprétation de tous les anons. Une source inépuisable d’énergie négative est mobilisée contre ce terme, très négativement connoté socialement. La conséquence est que les gens « respectables » refusent d’aller prendre connaissance des données de Q (un processus qui s’appelle « la science » ) car cela les met mal à l’aise. (Indice : si la méthode scientifique vous met mal à l’aise, il est possible que vous soyez dans une secte.)

 […]

[NdT: Pour plus d’informations sur l’opération Q, nous invitons le lecteur à consulter notre propre article consacré à ce sujet intitulé « De la guerre de l’information » dont une version augmentée figure dans “l’Homme et la Cité – Volume II]

Un processus où tout est question de timing

Pour moi, la partie la plus pénible de cet article de 2018 est sa conclusion où je prédis que tout sera terminé d’ici la fin de l’année. Tel que je le comprends, il s’agit là d’une bonne leçon : à la guerre vous ne révélez jamais votre plan à l’ennemi. En plus, nous aurions été déprimés d’apprendre que allions faire face à un génocide génétique, idem pour le coup de filet de l’élection truquée de 2020. Il fallait que les choses se passent ainsi…

Je comprends désormais que nous sommes confrontés à un processus beaucoup plus long de déconstruction de ces systèmes corrompus de pouvoir. Ils rouillent avant de s’effondrer et le moment de l’effondrement final ne peut pas être prévu à l’avance. Aujourd’hui encore, les messages de Q peuvent être utilisés de façon précise pour comprendre les évènements actuels et se trouvent tout le temps mentionnés de façon indirecte dans les communications officielles, d’une manière qui ne peut pas, d’un point de vue logique, être ignorée. Il s’agit d’une véritable opération du renseignement militaire. Les messages de Q nous donnent confiance en l’existence d’un plan et dans le fait que nous nous trouvons (relativement) en sécurité.

Se tromper sur le timing plutôt que sur la direction générale est préférable à l’inverse. Prendre conscience que des pans entiers de tout ce que vous considériez comme réel sont en vérité une escroquerie, une illusion ou une tromperie est un processus éprouvant. Je n’envie pas ceux qui vont devoir en passer par là en l’espace de quelques jours/mois à l’occasion d’un brutal « retour au réel », et pourtant, ce moment approche. Dans tous les cas, l’effondrement des taux de natalité et l’explosion de la mortalité des « piqués » nous y conduira bientôt. Les choses sont telles qu’elles doivent être et tout se déroule selon le plan de Dieu.

Comme l’écrivait Bill Cooper, l’auteur de visionnaire de Behold A Pale Horse, une fois que vous avez la vision d’ensemble, il est très difficile d’interagir avec votre ancienne société. De votre point de vue, les adultes sont comme des grands enfants, s’accrochant désespérément  à leurs illusions et à peine capables de gérer leurs émotions et leurs comportements. Leurs préoccupations et leur monde sont détachés du vôtre, car ils sont associés au système de contrôle des esclaves mentaux et aux récompenses qu’ils reçoivent pour avoir été bien obéissants.

Nous avons besoin d’un plus large champ du débat

S’il y a une chose que j’ai apprise au cours des quatre dernières années, c’est de devenir « consciemment incompétent » sur ce conflit dans son ensemble. Je comprends désormais que nous sommes engagés dans une guerre au long cours pour l’âme de l’humanité et que celle-ci a des origines et une complexité qu’il est très difficile pour un être humain de comprendre ou de saisir. C’est une guerre de la physique quantique, une guerre génétique, une guerre des temporalités, une guerre nanotechnologique, une guerre des consciences, une guerre de l’espace, une guerre souterraine, une guerre cognitive et bien plus encore.

Je n’écris pas sur des sujets que je ne maîtrise pas mais cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas importants. Des choses que j’aurai simplement écartées d’un revers de main par le passé, comme la possession des humains par des démons, me semble désormais plausible compte tenu de ce que je sais de la nature non-locale de la conscience [NdT: la possession démoniaque est une réalité reconnue par l’Église catholique qui forme des prêtres exorcistes capables d’intervenir dans de tels cas qui demeurent néanmoins relativement rares]. Notre science a été mutilée au point d’être devenue une parodie comique de la vérité (la crise de la non-réplication est un symptôme). Notre histoire a été modifiée de façon spectaculaire: par exemple, j’ai un ami qui possède un globe terrestre du XIXe siècle sur lequel figure le Tartare mais ce dernier a mystérieusement disparu de toutes les archives officielles. [NdT : le même phénomène a eu lieu dans le cas de l’empire des Khazars qui recouvrait une partie de l’actuelle Ukraine.]

Qu’il s’agisse d’anciennes civilisations, de catastrophes périodiques, de « remises à zéro », d’astrothéologie, des questions extra-terrestres, des continents cachés ou du multivers, je me retrouve renvoyé à ma propre ignorance. En tant que spécialiste de la synthèse, j’ai besoin désormais d’une période durant laquelle je vais pouvoir « restocker » et étudier dans le calme mais je ne m’attends pas à ce que les événements m’offrent un tel luxe. 

Aller de l’avant et plein d’allant

Pour ce que j’en sais, le barrage des Trois Gorges pourrait s’effondrer demain, le feu du ciel pourrait s’abattre sur les monuments sataniques de la planète mardi, la bourse pourrait être en chute libre d’ici mercredi et JFK Jr de retour dans la sphère publique d’ici la fin de la semaine prochaine. J’ai appris à éviter les prédictions, à l’exception des tendances générales, notamment celles avec des dates précises, car elles finissent toujours par vous mettre dans l’embarras.

Tout ce que je peux dire c’est que les dates des messages de 2018 se trouvent, de façon assez suspecte, bien alignées sur celles de 2022 dans le cadre d’un « intervalle de quatre ans ». La justice arrive et elle sera publique. La fraude électorale s’est vraiment produite, des arrestations ont déjà eu lieu, et elle aura donc des conséquences. Le « Bidan show » est bidon, c’est un coup de filet et une opération pour détruire pour toujours le parti démocrate. Le trafic d’êtres humains a été révélé au grand jour et son démantèlement est en cours à l’échelle mondiale. Hollywood, sous la forme que nous l’avons connu, n’existe plus. Les crimes de Big Tech sont en train de remonter à la surface. Nous avons exactement progressé dans la direction attendue.

En tant que l’un des plus célèbres commentateurs de Q, ma position est pour le moins étrange. Tous les jetons sont sur la table : si j’avais vu juste dans mon essai de 2018, même si le timing n’était pas bon, alors la partie est terminée pour l’élite progressiste actuelle et les anons représentent désormais la véritable élite intellectuelle et spirituelle. L’intelligentsia en place a été complètement bernée par la propagande et par la chambre d’écho générée par l’ingénierie sociale jusqu’à accepter les horreurs de la pire espèce : pédophilie, meurtre de masse, mutilation génétique des enfants.

Si je me suis complètement planté, je resterai dans l’histoire comme le cas tragique d’un échec individuel. Et ce n’est pas grave ! Il n’y a aucune honte à tenter sa chance et à chercher ensuite à corriger le tir. En effet, étant moi-même un être humain faillible et déchu, je ne me sens pas particulièrement qualifié pour juger les gens ou les prendre de haut. Ce jeu ne comporte pas de « gagnants », si ce n’est la certitude collective d’avoir fait tout ce qui était en notre pouvoir pour protéger les innocents du mal.

Pour moi, le plus grand changement aura été le passage d’une bataille intellectuelle pour la suprématie à un combat spirituel pour le salut. Tant que vous n’avez pas compris le péché d’orgueil, la nécessité de l’humilité et l’adversaire auquel nous faisons face, vous faites partie du problème. Peu importe si vous avez eu « raison » ou que vous avez « aidé », vous ne pouvez pas réussir si vous enfoncez votre prochain d’une manière ou d’une autre. Il ne peut pas y avoir de paix si vous êtes en compétition avec la réalité ou avec les autres.

Dans une guerre spirituelle, le combat est mené par une surveillance constante des forces du mal qui cherchent à faire des plus jeunes leurs victimes. Par conséquent, cette guerre n’est jamais terminée. La ruse et « diviser pour mieux régner » sont les méthodes de l’ennemi. L’unité, la compassion, la compréhension, le pardon et l’amour sont les seuls moyens de sortir de ce conflit. Si l’on se souvient de moi comme quelqu’un qui aura eu « prématurément raison » alors j’aurai échoué ; je préfère que l’on se souvienne de la façon dont j’ai traité ce qui était « ostensiblement maléfique » au moment où la douloureuse vérité est apparue.

Note du traducteur:

Totalement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.

Pour aller plus loin:

De la guerre de l’information (mon analyse de l’opération Q, faussement appelée « QAnon » par les médias de masse)

Du déni des complots

Q drops (nous recommandons aux lecteurs de se concentrer sur les posts 1à 471 et d’ignorer ceux postés en 2022)

Traductions des textes de Martin Geddes :

Des bonnes questions

Dépasser Babylone

De la méta-arnaque

Des blessures des guerres de l’information

Du coup d’état numérique

Des bonnes questions

Article publié le 6 juillet 2022 par Martin Geddes sous le titre « Are you sure you have this 100% right ? ».

Traduit de l’anglais par Stanislas Berton

Si vous êtes déjà abonné à ma liste de diffusion, je vous prie de bien vouloir m’excuser. Cet article ne vous concerne probablement pas car vous avez déjà pris conscience de certaines réalités douloureuses et dérangeantes concernant notre monde. Peut-être aurez-vous envie d’envoyer cet article à ceux qui sont sur le point de se poser de telles questions mais qui n’ont pas encore franchi le pas ? Il vaut mieux commencer à avoir des doutes et à remettre en cause ses certitudes de sa propre initiative plutôt que notre nature d’imbécile orgueilleux aux opinions sans fondement soit brutalement révélée au grand jour. 

Êtes-vous sûr que tous les gens que vous voyez à la télévision sont bien ceux qu’ils prétendent être (et que vous seriez capables de détecter un imposteur) ? 

Êtes-vous sûr que l’explosion des individus transgenres est un phénomène spontané et ne constitue pas un motif d’inquiétude ?

Êtes-vous sûr que les médecins possèdent une compréhension suffisante de la santé et du bien-être pour vous donner de bons conseils lorsque de nouvelles maladies apparaissent ?

Êtes-vous sûr que les médias de masse font avant tout du journalisme et non de la propagande ?

Êtes-vous sûr que tous les impôts que vous payez servent à financer des activités qui vous ont été présentées comme essentielles ?

*

Êtes-vous sûr que Donald Trump est bien le plouc raciste décrit par les médias ?

Êtes-vous sûr que Barack Obama est bien le noble chef d’état promu par les médias ?

Êtes-vous sûr qu’Hillary Clinton est une véritable combattante philanthropique pour la cause des femmes et des opprimés ?

Êtes-vous sûr que la monarchie britannique est ce qu’elle prétend être ?

Êtes-vous sûr que chaque personne célèbre censée être morte est vraiment décédée ?

*

Êtes-vous sûr que vous seriez capable de détecter un homme politique, une célébrité, un industriel ou un sportif victime de chantage ?

Êtes-vous sûr de savoir à quel point il est courant que les personnes puissantes et célèbres soient victimes de chantage ?

Êtes-vous sûr que Jeffrey Epstein n’était qu’un proxénète, ou était-il quelque chose de bien pire ?

Êtes-vous sûr de savoir pourquoi les médias ne semblent guère intéressés par la liste des clients de Ghislaine Maxwell ?

Êtes-vous sûr de savoir si votre gouvernement travaille pour les gens qui l’ont élu et non pour une puissance étrangère ?

*

Êtes-vous sûr que Joe Biden est le véritable et légitime président des États-Unis avec l’autorité correspondante ?

Êtes-vous sûr de comprendre comment la constitution américaine pourrait être subvertie ?

Êtes-vous sûr d’être capable de reconnaître une guerre d’infiltration (par des puissances étrangères) si une telle chose devait avoir lieu ?

Êtes-vous sûr que le système de monnaie fiduciaire est légal et légitime ?

Êtes-vous sûr de savoir à quel point vos institutions sont frauduleuses ou corrompues ?

*

Êtes-vous sûr que tous les « complotistes » sont des barjots ?

Êtes-vous sûr que les agences gouvernementales payées pour nous protéger agissent dans l’intérêt du public ?

Êtes-vous sûr qu’il existe une limite intrinsèque à la taille et à l’ampleur d’une entreprise criminelle ?

Êtes-vous sûr qu’il n’existe pas un sous-texte ou une idéologie dissimulés dans la plupart des films hollywoodiens ?

Êtes-vous sûr que les grands médias ne sont pas complices de crime organisé ou de dissimulation d’entreprises criminelles ?

*

Êtes-vous sûr que les GAFA comme Google et Facebook sont des entreprises commerciales légitimes ?

Êtes-vous sûr que vos données sont traitées dans le respect de la loi et ne sont pas transmises à des criminels ou à des puissances étrangères ?

Êtes-vous sûr que vous comprenez le rôle des sociétés secrètes et leur véritable capacité d’influence ?

Êtes-vous sûr que vous avez la capacité de détecter toute forme de technique de contrôle mental non-éthique utilisée par les médias ?

Êtes-vous sûr que vous seriez capables de vous en rendre compte si des technologies avancées utilisées par des entités comme le DARPA [NdT : agence des projets avancés de la défense, branche du ministère de la défense américain] étaient utilisées contre vous ?

*

Êtes-vous sûr que notre histoire est présentée ou enseignée de façon fiable dans les musées ou à l’école ?

Êtes-vous sûr que la Bible n’est qu’un ensemble de mythes sans aucun lien avec la société moderne ?

Êtes-vous sûr qu’il n’y a pas eu de civilisations avancées sur Terre avant la nôtre ?

Êtes-vous sûr que nous ne sommes jamais allés sur d’autres planètes ou systèmes solaires ?

Êtes-vous sûr que tout ce qui se passe d’important sur Terre se déroule uniquement à la surface ?

*

Êtes-vous sûr que nous avons eu le fin mot de l’histoire en ce qui concerne la fusillade de Las Vegas ? [NdT : le 1er octobre 2017, Stephen Paddock,  un homme de 64 ans, ouvre le feu sur un festival de musique organisé sur le Strip de Las Vegas faisant au total 60 morts et plus de 867 blessés. Le motif de cette fusillade reste officiellement indéterminé.]

Êtes-vous sûr que toutes les tueries dans les écoles sont dues à des loups solitaires agissant de leur propre initiative ?

Êtes-vous sûr que vous seriez capable de vous en rendre compte si une secte avait pris le contrôle de la société et qu’en être membre était devenu la « norme » ?

Êtes-vous sûr que les puissants vous donneraient les outils conceptuels vous permettant de détecter leur pouvoir ?

Êtes-vous sûr que c’est une bonne chose de se faire une opinion à partir de ce que disent les médias, sans aller vérifier les sources par vous-même ?

*

Êtes-vous sûr que le gouvernement a dit toute la vérité à propos du 11 septembre ?

Êtes-vous sûr que des institutions comme le Forum Économique Mondial, l’ONU et les ONG agissent en conformité avec leurs objectifs officiels ?

Êtes-vous sûr que vous avez conscience de l’ampleur et de la signification du trafic d’êtres humains au sein de la société ?

Êtes-vous sûr que des activités comme les sacrifices humains et le cannibalisme appartiennent au passé ?

Êtes-vous sûr qu’un nouveau génocide apparaîtrait sous une forme immédiatement reconnaissable ?

*

Êtes-vous sûr que vous comprenez le pouvoir du Vatican, de la City de Londres et de Washington DC en tant que micro-états agissant à l’échelle mondiale ?

Êtes-vous sûr que vous avez une vision claire de ce dont le mal est capable et de votre propre capacité de discernement ?

Êtes-vous sûr que toute science ou technologie qui conférerait à son détenteur un grand pouvoir serait automatiquement mise au service de l’humanité plutôt que dissimulée pour le bénéfice de quelques-uns ?

Êtes-vous sûr de savoir quel dieu adorent les autres et dans quelle mesure vous partagez leurs croyances en cette divinité ?

Êtes-vous sûr que ce que les médias appellent « QAnon » existe sous cette forme, sans être allé voir par vous-même de quoi il en retourne ?

Êtes-vous sûr ?

Vraiment sûr ?

🙂

Note du traducteur:

Totalement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.

Pour aller plus loin:

De la guerre de l’information (mon analyse de l’opération Q, faussement appelée « QAnon » par les médias de masse)

Du déni des complots

Traductions des textes de Martin Geddes :

Dépasser Babylone

De la méta-arnaque

Des blessures des guerres de l’information

Du coup d’état numérique

Des blessures des guerres de l’information

Article publié le 26 avril 2022 par Martin Geddes sous le titre « The injuries of information warfare ».

Traduit de l’anglais par Stanislas Berton

Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi à la nature de la guerre de l’information, une guerre qui recouvre la psychologie, l’intelligence artificielle, le contrôle mental, l’ingénierie sociale, le transhumanisme et les armes bactériologiques. Ma propre réalité intérieure est une « vérité absolue » à laquelle j’ai accès et dont je peux parler. Tandis que les années de cette guerre défilent, je constate que l’exposition au domaine virtuel a produit en moi des changements. J’espère que parler de ces blessures permettra de rendre légitimes les souffrances invisibles et muettes que ressentent d’autres personnes que moi.

Nous comprenons l’héroïsme de la guerre conventionnelle et la détermination dont il a fallu faire preuve pour endurer des bombardements comme le Blitz sur Londres durant la Seconde Guerre Mondiale. Tout le monde savait qu’il s’agissait d’une véritable guerre, même si un petit nombre de gens pouvaient manifester un désaccord sur sa nécessité ou ses vertus. La guerre actuelle est d’une toute autre nature : c’est une guerre contre et sur « l’opinion publique ». La guerre fait rage tant que suffisamment de gens ne croient pas qu’il y a une guerre et pensent que les autres gens ne croient pas non plus qu’il y a une guerre. La suppression de l’information qui révèle la véritable guerre est figurative.

J’ai été victime d’attitudes odieuses de la part de gens que je respectais et en qui j’avais auparavant confiance et qui semblent justifier leurs actions par le fait que toute personne qui a conscience de  la guerre de subversion en cours doit être considéré comme fou. Dans la sphère professionnelle, j’ai été désavoué par les « experts » de l’industrie de la tech [NdT : Martin Geddes est un professionnel mondialement reconnu des télécoms. Il occupa notamment le poste de directeur du département « Innovation et design » chez British Telecom]. Ce sont de parfaits hypocrites qui prétendent défendre la liberté d’expression et la diversité des points de vue tout en manifestant activement leur enthousiasme quand des gens comme moi se voient privés de leurs libertés. De la même manière, j’ai connu de douloureuses trahisons au sein de ma propre famille.

Le monde physique est rempli de zombies masqués et aux regards vides, de muselières abandonnées sur les trottoirs et de publicités empoisonnant l’atmosphère avec de la peur. Certains de mes amis ont injecté des potions toxiques à leurs enfants tout en considérant ceux qui refusaient le sacrement de l’Église du Covid comme d’irresponsables dégénérés. Quand je me retrouve en leur compagnie, je dois m’efforcer de limiter ma conversation à des banalités ; quand je me tiens à distance, je nourris le soupçon d’avoir rejoint un mouvement sectaire. Les temps sont durs.

Peu de choses peuvent rivaliser avec l’horreur de la mutilation génétique des enfants via le viol par aiguilles. Et parce qu’il est clinique dans son exécution, ce viol vous prive de ses manifestations habituelles et visibles que sont les cris et la violence. Mon livre censuré décrit le Coronagate comme le scandale des scandales et le temps a prouvé l’exactitude de mes affirmations. Pendant ce temps, d’après l’analyse réalisée par The Expose des données officielles du gouvernement britannique, les enfants « double vaccinés » meurent cinquante fois plus vite que les non-vaccinés (on ne parle pas des non-lobotomisés ou de non-amputés, il y a donc un subtil effet d’ancrage à l’œuvre ici).

La censure ne se limite pas à la suppression d’informations importantes et vitales. Ce n’est pas non plus une simple « Nuit de Cristal » où  les vitrines virtuelles des patriotes seraient cassées. Cela revient plutôt à assister à l’assassinat d’enfants, à l’abri des regards, sans pouvoir agir pour les sauver. À ce sujet, mes propres filles ont été mises en danger parce que des membres de ma famille ont préféré la propagande des médias à la réalité censurée. C’est dans ce contexte que doivent être comprises les blessures de la troisième guerre mondiale. Les soldats de la première guerre avaient connu l’horreur de la guerre des tranchées et des attaques au gaz mais ils n’avaient pas été forcés d’assister au massacre de leurs enfants avec la complicité de leurs familles, tout en étant accusés d’être des « complotistes » pour avoir identifié les criminels s’en prenant aux innocents. Les cercueils taille-enfant et les parents endeuillés sont une réalité, même si mon clavier ne baigne pas dans le sang.

Une telle barbarie demande un peu de travail pour être détectée mais une fois que vous en avez pris conscience, vous ne pouvez plus revenir en arrière. Voici les différents types de blessures de guerre que j’ai remarquées dans le cadre de cette guerre bio-informatique qui est, à ma connaissance, sans équivalent dans l’Histoire.

La première d’entre elles est la « blessure de concentration » qui est l’équivalent mental du « pied de tranchée ». Les réseaux sociaux nous exposent à une succession infinie d’informations en format court que nous devons utiliser pour prendre des décisions. J’ai constaté une fatigue et une difficulté grandissantes à me concentrer sur des formats plus longs. Comme si mon esprit avait été entraîné à consommer l’information par petites tranches et rien de plus. Regarder des vidéos ou lire des livres représente un défi car cela impose de rester concentré sur une plus longue période. Je suis très fort pour utiliser les réseaux sociaux mais cela a un coût !

La deuxième est la « blessure de l’injustice ». Nous sommes dans une guerre de la persuasion et si vous voulez produire quelque chose de valeur, cela vous impose d’être à la fois ouvert et vulnérable. La plupart des poètes de la première guerre mondiale ont écrit après être revenus du champ de bataille ; à l’inverse, nous devons créer alors que nos propres familles sont bombardées par des mensonges mortels jour après jour. Je mets toute mon âme dans mon travail et le fait d’être censuré, sans que cela ne donne lieu à aucune réaction ou manifestation de soutien, me fait du mal. Rester sur le champ de bataille exige de surmonter le réflexe naturel de chercher à le quitter afin d’éviter d’être davantage blessé.

Nous autres soldats de l’information sommes confrontés à des informations profondément malsaines: viols d’enfants, armes psychotoniques, nanotechnologies cauchemardesques, cannibalisme, trahison, esclavage, empoisonnements de masse, massacre des innocents, lâchage par ceux en qui nous avions le plus confiance, techniques de manipulation mentale au sein du foyer, etc…Au fil du temps se développe une « aversion pour la blessure » : je cherche à passer de moins en moins de temps en ligne et de plus en plus de temps « hors ligne » et au contact de la nature. Rester dans la lutte me demande de plus en plus d’efforts. C’est pour cela que hier, j’ai eu autant de mal à écrire cet article, mon inspiration était bloquée par mes propres traumatismes.

La nature insidieuse de cette guerre signifie qu’il n’existe pas de distinction entre le champ de bataille et la vie de tous les jours. De plus, les mêmes compétences, sur-sollicitées, doivent être utilisées dans d’autres contextes. Par exemple, j’ai beaucoup de mal à trier et à mettre en ligne les photos dont j’ai besoin pour faire tourner mon studio d’impression photo et gagner honnêtement ma vie. Pour la bonne raison que l’autiste surmené que je suis doit s’appuyer dans les deux cas sur les mêmes compétences organisationnelles et que je n’ai plus accès à mes canaux marketing habituels. Voilà un exemple de « blessure d’enveloppement » de cette guerre de l’information hors limites.

Beaucoup d’entre nous souffrent d’une « blessure d’aliénation » après avoir réalisé que beaucoup de nos vieux amis n’étaient pas de vrais amis. Ceux qui souhaitent vivre dans le mensonge veulent définir par eux-mêmes ce qui est juste et vrai, cherchant ainsi à occuper la place réservée à Dieu. Nous avons beaucoup de mal à établir une intimité spirituelle ou affective dans notre environnement proche. Tandis que nos amants, nos enfants et nos collègues règlent leurs vies selon des principes spirituels dangereux ou diaboliques, ils deviennent peu à peu pour nous des étrangers. Notre environnement social devient de plus en plus virtuel mais cela n’est pas toujours bon pour nous de nous trouver dans un environnement immatériel et impalpable.

Le dernier type de blessure que je voudrais mentionner est la “blessure d’isolation”. Les guerriers de l’information peuvent avoir le sentiment que leur travail est de seconde-classe ou sans importance car il lui manque le « bang, bang » des armes. Cependant, la guerre psychologie est barbare et aussi exigeante que le programme d’entrainement des forces spéciales. Continuer malgré l’épuisement physique, ce dont j’ai pu faire l’expérience en faisant de l’aviron ou du trek, est à bien des égards plus facile que de subir pendant des années la moquerie de vos pairs ou l’ostracisation sociale.

Ce qui me ramène au début de cet article : je voudrais conclure par quelques réflexions sur Twitter et l’avenir des réseaux sociaux. Mettre en évidence et corriger la malfaisance du tyran et propriétaire en place n’est pas suffisant. Nous devons reconnaître que la « cancel culture » conduit à la mort et que les «blessures des guerres de l’information » ne peuvent pas être dissociées des blessures physiques. La tâche qui nous attend est de repenser les réseaux sociaux pour que la violence en soit exclue et que la paix en soit le mode par défaut. Cela signifie rendre le pouvoir aux utilisateurs sur la participation au réseau et la présentation du contenu.

Note du traducteur:

Totalement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.

Pour aller plus loin:

Des bonnes questions

Dépasser Babylone

De la méta-arnaque

Du coup d’état numérique

De la méta-arnaque

Article publié le 18 juin par Martin Geddes sous le titre original « Decline and fall of the meta-fraud »

Traduit de l’anglais par Stanislas Berton

Si j’avais fait la promotion de cet article avec une accroche vous promettant la liste de mes recettes au chocolat préférées, cela aurait été un mensonge pur et simple. Même si j’adore le chocolat, vous ne trouverez ici aucune suggestion sur la meilleure façon de le consommer. Votre perte de temps sera limitée à quelques secondes, le temps de réaliser l’inadéquation entre la promesse et le texte. Cela ne m’aura rien rapporté, si ce n’est une perte de réputation. Cela aurait été stupide mais en aucun cas une arnaque.

Si j’avais décidé de promouvoir le nouveau « GeddesCoin », une crypto-monnaie qui « vous garantit de revenir riche, satisfait ou remboursé », cela aurait été en revanche une véritable arnaque. Je pourrais créer cette monnaie et la vendre pour des euros en expliquant tous les avantages qu’elle possède et en vous rassurant sur la protection financière (inexistante) y étant attachée. Cela pourrait m’enrichir, de façon temporaire mais ensuite, j’irais probablement en prison pour vous avoir dépouillé de votre argent.

Ce que je voudrais vous inviter à considérer dans cet article est l’idée d’une méta-arnaque. Il s’agit d’une activité dans laquelle je redéfinis le succès (et le résultat associé) d’une façon qui me profite, mais de façon indétectable. La société dans son ensemble va partager ma fausse définition de la nature de l’activité, de même que la moralité des profits ou des pertes qu’elle peut impliquer. Tous les moyens disponibles vont être mis à contribution pour forcer l’adhésion à ce système fondamentalement truqué : vous pouvez même être puni pour avoir essayé de stopper l’escroquerie !

Pour comprendre comment le pouvoir est utilisé et détourné, il est essentiel de bien saisir que l’arnaque peut se produire à différents niveaux d’abstraction. Au plus bas niveau, nous sommes face à l’équivalent d’un pickpocket qui outrepasse une limite physique tout en étant généralement considéré comme un criminel. Au plus haut niveau, il s’agit d’une subversion du langage et de la spiritualité qui inverse le bien et le mal, de manière à ce que le crime soit applaudi et récompensé. Entre ces deux extrêmes, il existe une multitude de formes et de formats d’arnaques qui bénéficient de différents niveaux d’acceptation par les institutions.

Le génie de la méta-arnaque est d’être, pour l’essentiel, au-dessus des lois et au-delà de tout reproche dans la vie de tous les jours. L’injustice devient normalisée et après le passage du temps, des décennies, des siècles ou des millénaires, il n’est plus possible de la remettre en question. Il s’agit d’une attaque portant sur la culture et la nature même de la société qui conduit à la création d’une classe de rentiers et de bénéficiaires perpétuels. Les victimes sont souvent mises à contribution pour défendre les violences qu’elles subissent et dénoncer tous ceux qui cherchent à y mettre un terme.

La méta-arnaque du Covid-19 a été conçue des décennies à l’avance, avec de multiples preuves de planification à long terme (brevets, laboratoires bactériologiques et des données erronées sur les bénéfices de la vaccination) et de programmation prédictive (cérémonies olympiques, séries télévisées). Dans le cas du Covid-19, la méta-arnaque consiste à vous tuer au nom de votre santé et de votre bien-être ; une inversion totale de ce qui est juste et réel. Cette maltraitance organisée simultanément par tous les niveaux de pouvoir a révélé le gouvernement en tant que forme génocidaire de la méta-arnaque : le taux de mortalité « toute cause » a déjà connu une augmentation de 20% à cause de la « piqûre ».

Dans le cas plus général du gouvernement, le cirque des taxes, des lois et des budgets contribue à se concentrer sur l’obéissance à un processus (de destruction des libertés) et non au but premier, la protection (du bien commun). Plutôt que de servir à protéger les droits de l’individu (NdT : il s’agit là d’une conception typiquement anglo-saxonne du droit, très différente de la conception française fondée sur la défense du bien commun], le gouvernement est devenu une véritable mafia qui viole les droits fondamentaux et détruit les libertés individuelles. Le « crime sans victime », une contradiction dans les termes, est devenu la norme législative ; si vous pouvez être emprisonné parce que vous avez fait pousser un plant de cannabis pour votre usage personnel, vous n’êtes pas un être humain libre. Si votre parlement prétend être souverain mais que le peuple n’a pas son mot à dire sur la façon dont il délègue sa souveraineté, sa prétention à la légitimité est une méta-arnaque.

Le système juridique sert désormais à couvrir le trafic d’êtres humains et la méta-arnaque consiste à remplacer la Common Law ou les droits naturels par le droit maritime ou d’entreprise. Des doubles juridiques fictifs sont créés et les humains réels se retrouvent forcés de considérer comme légitimes des tribunaux corrompus et leurs agents comme la police laquelle fait désormais respecter la politique du gouvernement et non la loi. Des associations juridiques véreuses couvrent leurs propres escroqueries et leurs alliés mafieux dans la finance, la politique et l’industrie. Cette corruption remonte à l’empire romain et a été normalisée pendant des siècles en occident.

Puisque que nous parlons de la finance, l’industrie bancaire n’est censée être rien de plus qu’une assurance déguisée, chargée de quantifier le risque de faillite pour cause d’endettement. La méta-arnaque consiste à obtenir un monopole sur la définition de l’insolvabilité et de redéfinir l’insolvabilité en tant que liquidité. L’insolvabilité, c’est quand vous n’avez plus assez d’actifs pour payer vos dettes, sans prendre en compte quand elles sont dues; la liquidité, c’est la capacité à payer à échéance. Chaque crise de la solvabilité est désormais résolue en imprimant de l’argent pour un sauvetage du système, fournissant ainsi de la liquidité. (Plus d’infos ici). [NdT : voir également notre article sur le « Casse du siècle »]

En pratique, cela conduit au transfert invisible des pertes d’entités protégées, comme les petites banques, à des acteurs plus importants, comme les grandes banques, et au bout du compte, à la sphère publique. Bien qu’ils soient tous en faillite, tous les gouvernements continuent de fonctionner (pensez par exemple aux dettes de la sécurité sociale américaine) ; ce mécanisme fait remonter la dette aux entités supranationales, comme l’Union Européenne, ou globales, comme le Forum Économique Mondial et son « Grand Reset ». La méta-arnaque sur la définition de l’insolvabilité (et le sauvetage répété des institutions financières pour éviter les faillites) conduit à une centralisation progressive du pouvoir. 

En retour, cela incite les banquiers centraux à déclencher des guerres qui leurs permettent d’effacer leurs propres dettes et de saisir des actifs réels, comme l’or, à leurs créanciers. La méta-arnaque d’une « industrie de la défense » ne sert qu’à défendre les intérêts des puissants sans aucune responsabilité envers les plus faibles. Il s’agit là d’une inversion du code de l’honneur du guerrier et le contraire de la paix et de la sécurité. Cette gigantesque escroquerie est protégée par la méta-arnaque de l’industrie des médias, spécialisée dans la fabrication d’illusions crédibles et non dans le reportage sur des événements réels.

La santé a été redéfinie par Big Pharma et la médecine rockefellerienne comme la suppression des symptômes. Cette méta-arnaque oppose les « traitements » aux mécanismes naturels d’immunité et de guérison qui n’offrent aucune perspective de profit. Des domaines entiers sont fondés sur le mensonge comme l’oncologie qui ignore les parasites ou la psychiatrie qui s’avère incapable de fournir des mesures objectives pour prouver l’existence d’un trouble. Nous sommes arrivés à une situation absurde où des personnes qui choisissent de s’appuyer sur la protection éprouvée fournie par leur système immunitaire sont montrées du doigt parce qu’elles refusent les thérapies géniques proposées par des criminels notoires.

L’éducation est une méta-arnaque où l’accumulation de connaissances et l’endoctrinement sont applaudis et où la véritable sagesse et la pensée critique sont critiquées comme déviantes et incitant à la haine. Ce processus est l’exact opposé du véritable apprentissage qui est souvent une activité autodidacte qui se déploie tout au long de la vie sur une variété de sujets, exotériques ou ésotériques. Les professeurs exercent un pouvoir sur leurs élèves plutôt que d’être là pour les guider et les aider à apprendre par eux-mêmes. Si vous éduquiez un enfant sur la notion de souveraineté, il pourrait bien quitter l’école et vous n’auriez plus de boulot en tant que professeur !

Je travaillais autrefois dans les télécoms [NdT : Martin Geddes est un professionnel mondialement reconnu des télécoms. Il occupa notamment le poste de directeur du département « Innovation et design » chez British Telecom] et je n’arrivais pas à comprendre pourquoi ceux qui poussaient la 5G ne semblaient pas du tout intéressés par des innovations radicales susceptibles d’améliorer la fiabilité et l’efficacité des systèmes. Au même moment, les régulateurs étaient captivés par des notions purement verbales comme la « neutralité du réseau » ne pouvant pas être objectivement mesurées ou garanties de façon satisfaisante. Maintenant, je comprends la méta-arnaque : il ne s’agit pas d’une industrie des télécommunications dont l’objet serait les systèmes de communication à haut-débit mais de la fonction support d’une industrie du télécontrôle : armes électromagnétiques, surveillance de masse, des « smart cities » sous la forme de goulags à ciel ouvert, l’internet des « corps contrôlés » et la surveillance généralisée via une « autonomie » orwelliennne.

Il ne s’agit pas là des seuls exemples: la religion organisée usurpe la spiritualité pour en faire une méta-escroquerie [NdT : nous sommes en désaccord complet avec Martin Geddes sur ce point, notamment en ce qui concerne la Sainte Église catholique. La véritable méta-escroquerie est la défense d’une « spiritualité » moderne relativiste, subjective et dépourvue de structure, de doctrine et de dogmes.] Les ONG piratent l’action caritative et répandent la corruption ; les services sociaux détruisent les familles et confient les enfants à des pervers ; le féminisme prive les femmes de la possibilité de fonder une famille pour en faire des esclaves imposables ; pour les jeunes hommes, la compétition sportive vient remplacer l’acquisition de véritables compétences guerrières. Chaque inversion corrompue de la culture naturelle semble tellement aller de soi que remettre en cause ses postulats vous condamne à l’exclusion sociale.

Les systèmes furtifs de mise en esclavage fonctionnent mieux que ceux qui reposent sur des barreaux et des chaînes visibles. La méta-arnaque est le mécanisme par lequel ces systèmes sont mis en place et progressivement déployés. Les méta-arnaques réussissent parce qu’elles sont conçues pour être difficiles à détecter, fonctionnent à grande échelle et sont remarquablement durables : chacune d’entre elles est une « nouvelle norme » qui exclut l’idée qu’un système rival puisse être légitime. Par nature, elles conduisent à des sociétés totalitaires, qu’elles soient communistes, fascistes ou transhumanistes.

La destruction simultanée de toutes ces méta-arnaques interconnectées est à la fois inimaginable pour la plupart des gens et le plus grand changement susceptible d’affecter une société humaine, à moins d’aller s’installer sur une autre planète ou dans une autre dimension. Le Grand Réveil consiste en une transformation de notre société afin de permettre la révélation de ces arnaques au plus grand nombre, ce qui passe par un processus empirique. Pour dépasser et transcender ces systèmes et ses institutions de méta-arnaque, nous devons passer par leur révélation et leur effondrement.

L’élimination de la méta-arnaque est un processus paradoxal dans le sens où il suppose de faire « bouillir la grenouille trop vite ». Par exemple, le lent processus de transformation du marxisme « rouge » en environnementalisme « vert » se trouve perturbé par l’augmentation brutale du prix de l’énergie et les pénuries, ce qui pousse en retour la population à remettre en causes les explications officielles. Le déclin et la chute de l’empire des méta-escrocs ressemble peut être à la fin de la société telle que nous la connaissons mais c’est en réalité le début de la véritable civilisation.

Note du Traducteur :

1) Les « Lumières » et leur corollaire, le « Progrès » furent une immense méta-arnaque philosophique et spirituelle dont l’Occident subit encore les conséquences désastreuses. En tant que traduction politique  de cette idéologie, la Révolution Française fut également une gigantesque arnaque, la première « révolution de couleur » de l’Histoire, un coup d’état mené avec autant de cynisme que d’habileté par les ennemis de la France, de l’Église et de la monarchie. Comme l’écrivait Talleyrand : « Bien agiter le peuple avant de s’en servir… »

Totalement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.

Pour aller plus loin:

Des bonnes questions

Des blessures des guerres de l’information

Dépasser Babylone

Du coup d’état numérique

De la guerre de l’information

Seuls le souverain éclairé et le général avisé sauront recruter les meilleurs éléments de l’armée pour les activités de renseignement et en retireront en conséquence de grands bénéfices.” Sun Tzu – L’art de la guerre

La guerre a changé de nature.

Autrefois principalement menée par des moyens conventionnels (soldats, artillerie, bombardements), la guerre moderne est désormais essentiellement une guerre de l’information dont l’enjeu est le contrôle de l’opinion publique et le champ de bataille, l’esprit des citoyens.

Comme je l’ai expliqué dans « La France Retrouvée », dans les sociétés occidentales dites « démocratiques », « quiconque contrôle les médias et le récit médiatique possède le pouvoir de contrôler les esprits mais également de définir ce qu’une société tient pour réel, de déterminer les opinions considérées comme acceptables et pour finir, de contrôler la hiérarchie du pouvoir et des représentations. »

Comme je l’ai également expliqué dans ce même livre, les peuples occidentaux se trouvent aujourd’hui au cœur d’une guerre sans pitié, « hors limites », invisible qui leur est menée par les mondialistes, l’état profond  et leurs affidés. Tenant fermement en main les principaux leviers du pouvoir (finance, médias, justice, université, haute-fonction publique) et instruits aussi bien par les leçons de l’Histoire que par celles de la psychologie, les mondialistes ont parfaitement compris que pour que leur contrôle se maintienne et que leur influence perdure, leur pouvoir devait absolument demeurer caché, dissimulé derrière le paravent d’un ensemble d’institutions et de contre-pouvoirs en réalité totalement infiltrés et subvertis.

Comme l’exprimait avec éloquence le président américain Andrew Jackson dès 1834 : “Si le peuple comprenait l’odieuse injustice de notre système bancaire et financier, il y aurait une révolution dès demain matin”. En 1961, le président John Kennedy affirmait : “Nous faisons face dans le monde entier à une conspiration impitoyable et monolithique qui s’appuie principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence, sur l’infiltration plutôt que sur l’invasion, sur la subversion plutôt que sur l’élection, sur l’intimidation plutôt que sur le libre choix.

Dans les faits, quiconque souhaite sérieusement lutter contre le pouvoir de l’oligarchie mondialiste se trouve rapidement confronté à la réalité d’un rapport de force totalement asymétrique : la guerre ne peut être gagnée qu’en réinformant massivement une partie des élites patriotes et un pourcentage suffisant du peuple pour atteindre la masse critique or les médias de masse, les systèmes de diffusion de l’information et la notion même ce qui est considéré comme « réel » se trouvent sous le contrôle de l’ennemi. Dans ce cadre, comment gagner une guerre dont ceux qui en sont les premières victimes ne savent pas qu’elle leur est menée, comment vaincre quand les combattants ignorent la véritable nature de leur ennemi et comment l’emporter quand la population est conditionnée par le système pour considérer les rares résistants comme de dangereux extrémistes ?

Comprendre ce contexte de guerre asymétrique de l’information est absolument essentiel pour comprendre l’importance et la signification de la plus grande opération de réinformation et de diffusion du renseignement de l’histoire : l’opération Q. Preuve supplémentaire du contrôle absolu exercé par les médias ennemis sur le récit médiatique, cette opération a été portée à la connaissance du grand public sous le vocable fallacieux du « mouvement Qanon ».

Commençons donc par rappeler qu’en réalité, il n’existe pas de « mouvement Qanon ».   D’une part, il existe « Q » une source d’information, dont la probabilité qu’elle soit liée au renseignement militaire américain et à l’administration Trump est forte (voir plus bas) et de l’autre, les « Anons », ces internautes anonymes chargés de décrypter et de diffuser les informations communiquées par cette mystérieuse source Q.

Q posta sa première communication le 28 octobre 2017, quelques jours après la mystérieuse déclaration de Donald Trump annonçant « le calme avant la tempête » (The calm before the storm), sur le forum 4chan, connu pour son rejet du politiquement correct, sa liberté d’expression radicale et sa fréquentation par les « autistes », ces surdoués d’internet toujours à l’affut d’une information à décrypter ou d’un puzzle à résoudre. Après avoir commencé à poster sur 4chan, Q migra par la suite sur le site 8chan avant de terminer sur le site 8kun avec un dernier message posté le 8 décembre 2020. Dans son documentaire, « Q : Into the Storm », le réalisateur Cullen Hoback a relaté en détail les événements  ayant conduit à ces migrations successives ainsi que leurs causes.

Mockingbird [opération de la CIA de contrôle des médias]
HRC détenue, pas (encore) arrêtée
Où est Huma? Suivez Huma.

[H. Abedin, bras droit d’Hillary Clinton]
Cela n’a (encore) rien à voir avec la Russie
Pourquoi Trump est il entouré de généraux ?
Qu’est-ce que le renseignement militaire
Pourquoi contourner les agences à trois lettre [FBI, CIA]?

Q post 2

Confiné dans un premier temps au relatif anonymat d’un forum politiquement très incorrect et fortement lié à la culture « geek », Q commença peu à peu à percer auprès du grand public et connut une explosion de sa popularité début 2018 suite à son relais par plusieurs personnalités médiatiques américaines conservatrices comme Sean Hannity, Roseanne Barr ou Alex Jones. Tandis que la popularité de Q auprès du grand public américain grandissait, la machine de guerre médiatique se mettait en marche pour discréditer une source d’information tantôt dépeinte comme « complotiste », tantôt présentée comme « une secte extrémiste pro-Trump » ou réduite à la dénonciation d’un « complot mondial mené par une élite pédo-sataniste. »

Ces tentatives de discréditer Q purent profiter du fait que nombre de patriotes n’eurent pas la curiosité d’esprit d’aller lire les communications de Q, les Q drops, dans le texte sans se fier ni à la description faite par les médias, ni à l’interprétation effectuée par des commentateurs de plus ou moins bonnes volontés.  En France, la publication des messages de Q en anglais obligea malheureusement un grand nombre de patriotes à s’en remettre à une traduction ou à une interprétation fournie par des tiers. Pour ajouter à la confusion générale, l’ennemi entreprit, afin de décrédibiliser le mouvement, de poster de fausses informations, attribuées à Q, et  parfois reprises sans discernement par certains patriotes. A plusieurs reprises, Q prit la peine d’intervenir directement pour mettre en garde ses lecteurs sur ce phénomène.

Q post 1295

Débarrassons-nous donc des  manipulations et des représentations médiatiques pour aller à l’essentiel.

Qui est Q ?

Si l’identité de Q a fait l’objet d’intenses spéculations, de nombreux éléments factuels tendent à prouver que Q est une source placée dans l’entourage proche du président Trump et vraisemblablement liée au renseignement militaire (USAISA). Confronté au scepticisme des premiers Anons comme des nouveaux venus, Q prit la peine de prouver son statut à travers un ensemble de preuves, les « Q proofs », qui démontrent une proximité réelle avec le premier cercle de Trump, voire vis-à-vis du président lui-même, ainsi qu’une connaissance, parfois prophétique, de certains événements ou déclarations officielles. Par ailleurs, les informations postées par Q n’ont cessé de faire l’objet d’un examen attentif, pour ne pas dire maniaque, de la communauté des Anons dans le but de tester leur sérieux et leur crédibilité.

Reprise par le président Trump d’une demande faite à Q par un Anon.

Quelle est la mission de Q ?

Q est avant tout un professeur et sa mission est de réinformer le grand public et de lui communiquer, sous une forme parfois cryptée, des informations cruciales sur la géopolitique, la vie politique américaine et sur les dessous de la guerre menée contre les mondialistes et l’état profond.  En tant que professeur, Q fait principalement appel à la méthode socratique : la plupart des messages prennent en effet la forme de questions qui invitent les lecteurs à creuser tel ou tel sujet, à réfléchir par eux-mêmes et à faire le lien entre différentes sources afin de faire émerger la vision d’ensemble.

Q post 97

Lorsqu’un message a été décrypté, il n’est d’ailleurs pas rare que Q félicite l’Anon responsable de l’analyse et l’invite à postuler auprès des services de renseignement !

Bien joué Anon
La désinformation est réelle.
Les diversions sont nécessaires.
L’Arabie Saoudite en premier, les États-Unis en second, (Asie/UE)…
Alice et le pays des merveilles

Q post 72

A plusieurs reprises, Q justifie l’emploi d’un langage crypté par les lois touchant à la sécurité nationale et interdisant la divulgation d’informations classées « secret défense » au grand public.

Comment communiquer de façon sûre et sécurisée via un canal non officiel et contourner ainsi les médias mensongers?
Comment communiquer de façon sûre et sécurisée sans violer les lois sur la sécurité nationale?
>Ajouter de nombreuses couches de coïncidences qui prouvent de façon mathématique votre légitimité (écart-type)<
A quel moment les gens se réveillent
ils?”
Q post 2567

Il suffit donc de prendre le temps de lire quelques messages de Q pour comprendre que l’accusation de « lavage de cerveau » ou de « secte pro-Trump » est absolument sans fondement. Si Q est attaché à une valeur, c’est bien à l’esprit critique et il ne cesse d’ailleurs d’inviter ceux qui le suivent à penser par eux-mêmes, à mener leurs propres recherches et à fonder leurs convictions, non pas sur la doxa médiatique, mais sur un rigoureux examen empirique des faits.

Q post 1339

De quoi parle Q ?

Les  principaux sujets abordés par Q peuvent être regroupés en plusieurs catégories :

-la corruption des mondialistes, leurs réseaux occultes et le démantèlement de ces derniers

Pour se couvrir, ils ont infiltré et contrôlent le récit médiatique (les médias mainstream). Pour se couvrir, ils mettent au pouvoir uniquement ceux qui marchent dans la combine. Pour se couvrir, ils font chanter ceux qui refusent. Pour se couvrir, ils désignent toute idée de complot comme folle/psychotique et appliquent cette étiquette sur tout ce qui est vrai. Cela fonctionne car ce qu’ils font est absolument maléfique et souvent difficile à croire (dur à avaler). Peu importe qui gagne l’élection, ils se débrouillent toujours pour garder la main (Kennedy-assassiné ; Reagan-tentative d’assassinat). Telle est la promesse faite à ceux qui acceptent de jouer le jeu (volontairement ou non): vous ne perdrez jamais le pouvoir. Pouvoir des agences à 3 lettres. Contrôle de l’armée américaine (domination mondiale pour forcer les autres nations à rentrer dans le système). Ces gens sont vraiment stupides.” Q post 354

-la vie politique américaine et les dessous de la présidence Trump

Q post 4750

-la géopolitique avec un accent particulier mis sur la Corée du Nord et l’Arabie Saoudite

Q post 1245

-la lutte contre la propagande médiatique des médias de masse

Q post 2770

A noter qu’à plusieurs reprises, Q prend même le temps de réfuter plusieurs théories du complot !

-Q, la terre est-elle plate?
-Non.
Q post 2622

Même si plusieurs messages de Q font effectivement référence à la pédocriminalité, au trafic d’êtres humains ainsi qu’au culte que l’élite mondialiste voue à Lucifer, il ne s’agit là que d’une petite partie d’un travail de réinformation bien plus complet et plus vaste et c’est bien entendu cet aspect que les médias de masse ont choisi de mettre en avant pour caricaturer et décrédibiliser le mouvement.

Ils ont rendu célèbres de nombreux enfants mis en esclavage dans le présent/passé.
Hollywood en est rempli.
Des mannequins.
Trouvez ceux qui font le plus de bruit.
Lavage de cerveau
Qui a été adopté?
Qui est né dans le système?
Ils pensaient que les moutons suivraient les étoiles.

Q post 923
Relisez les posts concernant Haïti. A un moment, ils ne pourront plus sortir dans la rue. Le mal à l’état pur. Combien de gens à Washington et dans le reste du monde (au pouvoir) vénèrent le diable? Théorie du complot? Fake News? Le monde entier nous regarde.”
Q post 1832

Il est donc essentiel de s’affranchir du récit médiatique pour voir l’opération Q pour ce qu’elle est : la plus grande opération de diffusion de renseignement auprès du grand public de l’histoire (the greatest intelligence drop in history). Cette opération, inscrite dans le cadre de cette guerre asymétrique de l’information, vise à rééquilibrer le rapport de force en donnant au grand public des « munitions » pour lutter contre les mondialistes et attirer l’attention de la résistance patriote sur des points bien précis et des faits méconnus. Au final, l’opération Q aura permis que des informations connues jusqu’à présent de 0.1% de la population aient désormais atteint une masse critique de diffusion de l’ordre de 10 à 20%, aux États-Unis du moins.   

Sur la plan stratégique et militaire, Q est une opération absolument brillante qui aura su pleinement intégrer et tirer parti des notions de champ de bataille numérique (digital battleground), de soldat numérique (digital soldier), de guérilla informationnelle (information warfare) et surtout, qui aura eu l’idée géniale de crowdsourcer, via Internet et les forums de discussion, la diffusion d’un renseignement open-source tout en faisant appel aux capacités d’analyse et de traitement de l’information, souvent sous-exploitées dans la société actuelle, des surdoués et autres profils neuro-atypiques.  Pour toutes ces raisons, il est fort probable que l’opération Q rentrera dans les annales de la stratégie militaire et sera étudiée à l’avenir dans toutes les écoles de guerre.

Si cette analyse est exacte, il n’est pas surprenant que les médias aient tout fait pour discréditer la source Q et continue d’ailleurs de le faire aujourd’hui alors que Q n’a plus rien posté depuis décembre 2020. Pourquoi s’acharner à ce point sur un mouvement « complotiste » publiant des histoires à dormir debout ? Pourquoi purger tous les soutiens de Q de Facebook ou de Twitter ? Pourquoi effacer tous les messages ne faisant que simplement mentionner l’existence de Q ?

Q post 3409

S’il existe une probabilité que Q n’ait été qu’une opération de manipulation psychologique (psy-op) de plus destinée à canaliser la colère du camp patriote pour mieux la neutraliser ou une habile opération de communication politique visant à fidéliser et à mobiliser la frange la plus radicale de l’électorat de Donald Trump, les attaques répétées des médias de masse, les preuves de la proximité avec la présidence américaine et l’ampleur des révélations font pencher la balance en faveur d’une opération menée par les « anges gardiens » (white hats) et destinée à permettre la victoire du camp des patriotes sur celui l’état profond. Pour finir, à tous ceux frustrés par la lenteur du processus et impatients que le ménage se fasse plus rapidement, Q a répondu ceci :

« Ceux qui ne comprennent pas que nous ne pouvons pas commencer à procéder aux arrestations sans d’abord garantir le bien-être de la population, changer le récit médiatique, neutraliser ceux en poste à Washington, vaincre l’État Islamique ou le gang MS13, bloquer les fonds pour couper les réseaux, détruire la chaine de commandement pour empêcher les représailles etc…, ne devraient pas participer à ces échanges. » Q post 725

Pour beaucoup, cela ne sert à rien de dire. Il faut montrer. Ce n’est qu’au bord du précipice que les gens trouveront la force de changer.
Q post 4685

Quel que soit leur avis sur cette question, nous ne pouvons qu’inviter les curieux et les sceptiques à se faire leur propre opinion en allant lire directement Q dans le texte tout en méditant sur l’évangile de Saint Jean qui nous enseigne que :

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Notes :

1- « Q » correspond à un niveau de sécurité « Secret Défense » du Ministère de l’Énergie américain

2- La Source Q ou simplement Q (initiale de l’allemand “Quelle” signifiant « source ») est une source supposée perdue qui serait à l’origine des éléments communs aux Évangiles de Matthieu et Luc, absents chez Marc.

3-Un faisceau d’indices pointe vers un possible piratage de Q à partir de décembre 2017. En conséquence, nous recommandons aux lecteurs de se concentrer en priorité sur les Q posts originaux, à savoir ceux postés entre octobre 2017 et novembre 2017 sur le forum 4chan (lien) et de ne pas tenir compte de ceux postés à partir de 2022.

4-Sur de nombreux points, Q accomplit le même travail, version américaine et 2.0, qu’une lettre d’information comme « Faits et Documents» et certaines de ses révélations recoupent les travaux et les recherches de Pierre Hillard.

5- Q apporte un éclairage intéressant sur le mouvement “antifa”. Voir Q posts 4635, 1941 et 1926

6- Q jette un éclairage sur le 11 septembre 2001. Voir Q posts 67, 117 et 118

Qui était le mentor de Barack Obama?
Quel est le lien entre Alwaleed et Hillary Clinton?
Qui était le mentor d’Hillary Clinton?
Quel est le lien entre Alwaleed et Bush père/fils?

Q post 117

7- Message de Lin Wood -25/06/2023

“Si vous croyez en l’authenticité de Q, qui sont les membres de la team Q?

De très bons généraux (pas des généraux de plateau TV) et peut-être un ou deux civils?”

Pour aller plus loin :

Q drops (posts originaux)

Archive complète des Q drops + manuel de décryptage

The calm before the storm

Q :Inside the Greatest Intelligence Drop in History, Paul Furber

On Q, Martin Geddes

Structure des Q drops (Martin Geddes)

Q : Into the Storm (documentaire)

Message de Lin Wood

Lin Wood à Tulsa (extrait)

La guerre cognitive

4ème anniversaire de l’opération Q

De la guerre hors limites

De l’état du front

Article publié le 26 mars 2023 par Martin Geddes sous le titre original « The strange reality of life in a digital foxhole ». Traduit de l’anglais par Stanislas Berton.

Beaucoup d’entre nous vivent actuellement des vies où nous avons l’impression d’avoir ajouté accidentellement une substance psychédélique délirante dans notre café du matin dont les effets refusent de se dissiper. Une fois que l’on commence à voir à quel point peu de choses sont vraiment ce qu’elles semblent être et à quel point il est facile de duper les gens pour leur faire avaler des mensonges, on se détache de ce que tout le monde perçoit comme la “réalité”. Une compréhension accrue de la vision d’ensemble se trouve associée à un processus de deuil permanent pour le monde naïf que nous considérions autrefois comme représentant la totalité des choses.

Des années d’ingénierie sociale, d’IA transformées en armes, de propagande médiatique, de programmation prédictive, de subversion culturelle et d’églises corrompues ont laissé notre société déchirée par des fractures qui ont fait éclater les familles, les communautés et les nationalités. L’ancienne « normalité » dans laquelle nous avions pris l’habitude de vivre est en train de partir en lambeaux, et le nouveau monde se devine à l’horizon mais n’est pas encore tout à fait là. Nous voyons tous les signes annonciateurs d’un nouveau système financier, d’un nouveau système énergétique, d’un nouveau système de santé, d’un nouveau système médiatique et d’un nouveau système social mais pour l’essentiel, ils se trouvent encore tous « à la marge ».

Je n’aurais jamais pu anticiper la situation dans laquelle nous nous trouvons en 2023 il y a encore quelques années. C’est comme si nous étions allés au-delà du territoire du “cygne noir” pour entrer dans la zone étrange de « l’ornithorynque violet”. L’un des rôles clés joués par les « guerriers de l’information » est de protéger la santé mentale et de guérir les traumas en étant les « témoins » de cette lutte collective et en nous rappelant que nous ne sommes pas les seuls à être confrontés à des difficultés. J’ai extrait de mon cerveau dix choses qui, à mes yeux, caractérisent, ce que nous sommes en train de vivre.

1) Tranchées virtuelles. Les dernières années ont été marquées par des heures à discuter sans fin sur Signal, FaceTime, Zoom, WhatsApp et Telegram. Nous avons formé des communautés soudées de partisans et de confidents, bien que nous n’ayons jamais rencontré beaucoup d’entre eux en personne. En conséquence, nos réalités sont quelque peu déformées : le sentiment virtuel de présence de l’autre qui émane d’un dispositif électronique n’est pas le même que la rencontre en face à face et nous avons besoin de cette proximité physique. Les tranchées virtuelles peuvent créer des relations intenses avec nos camarades résistants, mais au prix de tensions ou de négligences dans notre environnement immédiat.

2) Le pays des boucs émissaires. On a vendu à nos proches le mensonge selon lequel toutes les normes « progressistes » ou « woke » sont éthiques, attentionnées, désintéressées, respectables et justes. Pour eux, accepter que c’est exactement le contraire constitue une profonde remise en cause de leur image d’eux-mêmes et de leur confiance en l’autorité. Afin de défendre leur psyché contre la mort de leur ego, ils doivent se séparer de nous et considérer tous les complotistes comme de « mauvaises personnes ». Nous devenons les réceptacles de leur travail inachevé sur leur « part d’ombre » et devenons en conséquence le bouc émissaire. Exclus et ostracisés, nous nous retrouvons dans l’incapacité de faire correctement le deuil de toutes ces relations coincées en animation suspendue tandis que ceux que nous aimons se retrouvent victimes du sortilège des « mensonges à la mode ».

3) Difficultés financières. « Tenir le coup », défendre vos principes et refuser d’obéir au mal coûte souvent des carrières, des emplois, des clients, des promotions et des projets. Dans le même temps, nous pouvons être confrontés à des bouleversements dans nos vie tandis que nous les reconfigurons autour d’une réalité sociale modifiée. Les prix dans les magasins explosent, nos économies fondent et nous devons assumer les coûts de préparation pour les temps difficiles à venir. Les luttes avec des autorités corrompues nous conduisent à dépenser une énergie qui serait autrement consacrée à gagner notre vie. Il est courant que les patriotes aient besoin de l’aide des uns et des autres pour continuer à lutter contre la marée de la trahison.

4) Invisibilité culturelle. Notre ennemi doit créer un faux consensus, tromper les gens de bonne volonté en leur faisant renier leur conscience pour obéir à des ordres du jour cachés. Les films, les jeux vidéo et les feuilletons célèbrent des modes de vie, des situations et des morales qui sont répugnants pour beaucoup (voire la plupart) des gens. L’homme ou la femme ordinaire qui lutte contre le totalitarisme d’État et les crimes du gouvernement est dénigré et diffamé. La culture de masse corrompue fait tout son possible pour faire comme si la culture des guerriers de l’information n’existait pas ou n’avait pas d’importance, déformant son apparence pour en faire le contraire de la réalité. En temps voulu, nos véritables histoires seront racontées.

5) Aliénation de divertissement. J’allais souvent au cinéma dans les années 1990 et au début des années 2000. Je lisais des magazines comme The Economist alors que je faisais d’interminables trajets en avion pour mes activités de consultant. J’assistais à des pièces de théâtre et des comédies musicales grand public et, occasionnellement à des concerts de musique électronique bruyants. Il m’arrivait même parfois de lire un roman. Beaucoup d’entre nous considèrent désormais que les choses qui nous divertissaient par le passé sont en train de perdre leur attrait et pas seulement parce que nous avançons en âge. Nous voyons les messages cachés et nous avons appris à nous défier de la programmation mentale, cela rend plus difficile de nous détendre et de nous immerger dans des univers fictifs.

6) Prise de conscience historique. Le « cosmos conceptuel » dans lequel nous vivons s’élargit à mesure que nous prenons conscience que les choses ne sont pas telles qu’elles semblent être. L’idée d’une histoire cachée gagne en crédibilité, devenant le nouveau modèle par défaut. Nous regardons les vieux bâtiments, les monuments, les expositions des musées, les cartes et les livres anciens, les églises ouvragées et les grands édifices avec un tout nouvel œil. L’électricité, le son, les remèdes, les génocides, les inondations, les orphelins, les réinitialisations… c’est tout un nouveau monde dont nous devons apprendre les règles, comme un retour à la maternelle. Être en ville, ce circuit imprimé de flux d’énergie, prend une nouvelle dimension, pas toujours facile à comprendre.

7) Guérison créative. En nous déconnectant de la fausse culture qui nous entoure, nous cherchons une thérapie pour notre âme blessée. La nature, l’artisanat, le jardinage, la cuisine, la marche, la navigation, le yoga et les animaux domestiques semblent remplir ce vide qui était autrefois occupé par le divertissement. Créer des choses concrètes arrive en haut de notre liste de priorités, apportant une plénitude avec laquelle d’autres façons de nous occuper peinent à rivaliser. La peinture, la photographie, l’écriture et d’innombrables hobbies donnent un sens à notre vie et nous ouvrent des possibilités d’interactions sociales tandis que nous abandonnons les formes de divertissement qui, autrefois, nous captivaient. Nous nous guérissons grâce à nos actes d’expression divine qui nous ramènent à un état plus ludique d’émerveillement enfantin.

8) Problèmes de persécution. À un niveau stratégique, la guerre est déjà gagné, terminée avant même d’avoir commencé. La tête du serpent a peut-être été coupée, mais ceux d’entre nous qui vivent dans le monde de tous les jours sont encore confrontés aux derniers soubresauts de la matrice de l’asservissement agonisante. Les entreprises d’énergie avides, la police locale progressiste, les voisins malveillants, les conseils municipaux corrompus, les impôts exigés par des États génocidaires… Nous devons constamment garder ces loups loin de notre porte. Les lois semblent ne s’appliquer qu’à nous, jamais à eux. Vous devez choisir vos batailles, en échangeant des principes contre des conséquences. Une fois que vous avez décidé de vous battre vous ne pouvez plus faire marche arrière, vous devez donc accepter les blessures comme faisant partie de la vocation du guerrier.

9) Anticipation paradoxale. Avec le recul, je considère avec amusement mon ancien désir d’une résolution rapide de cette guerre. Extraire la société des mâchoires du mal et défaire des décennies de lavage de cerveau est un processus et non un événement. Des moments de catharsis rapides peuvent avoir lieu mais le thème dominant est celui d’observer des dates défiler, sans que les événements spécifiques attendus se produisent, mais avec étrangement plus de progrès que ce que nous avions imaginé possible. Chaque jour qui passe nous apporte une meilleure compréhension de l’ampleur du problème auquel nous avons été confrontés et l’incroyable vitesse à laquelle nous sommes en train de le résoudre. Le jour où « ça » arrivera et où la société repartira sur de nouvelles bases sera également le jour où nous aurons réussi à nous détacher de notre obsession pour les dates arbitraires.

10) Paix intérieure. Peut-être ne s’agit-il que de mon cas mais en défendant vos principes et en insistant sur votre souveraineté vous vous épargnez un grand nombre de tragédies pour votre âme. Le corps et l’esprit peuvent continuer d’être affectés par les turbulences du monde matériel mais au plus profond de vous-même, vous acceptez qui vous êtes, vos défauts, vos limites et vous ne tolérez plus toutes ces bêtises que vous aviez l’habitude de tolérer. Les relations de codépendance, la violence émotionnelle, le désir narcissique, tous ces cycles sans fin de violence contre vous-même, se sentir piégé ou chercher des distractions, perdent tout à coup leur attrait. Être un guerrier de l’information vous donne confiance en votre capacité de discernement et de détachement via à vis des croyances et des comportements complètement déments des autres personnes.

Peut-être trouverez-vous utile de réfléchir à où vous en êtes et d’évaluer dans quelle mesure cela diffère de ce que vous auriez pu anticiper il y a deux, cinq, dix ans. Qu’est-ce qui caractérise cette période pour vous ? Qu’avez-vous découvert à propos de vous-même que vous n’aviez pas apprécié auparavant ? Qu’est-ce que votre « moi intérieur » comprend maintenant que vous auriez aimé savoir et qui aurait pu vous éviter de l’angoisse ? Quelles parties de votre vie sont encore bloquées dans la « matrice » et demandent de l’énergie pour être détachées ? De quelle manière contribuez-vous au monde meilleur à venir, et dans quels combats devriez-vous vous investir?

Une fois que le système financier aura basculé et que les procès pour trahison seront diffusés à la télévision, nous serons trop absorbés par l’ampleur du changement pour avoir le temps de réfléchir.

C’est donc le bon moment pour songer à tout cela.

Pour aller plus loin :

Des blessures des guerres de l’information (Geddes)

Des bonnes questions (Geddes)

Des quatre années de guerre (Geddes)

De la dernière framboise avant la fin du monde

Photo :Martin Geddes

Article de Martin Geddes publié le 11 janvier 2024 sur Substack sous le titre original « The last raspberry from Tesco ». Traduit de l’anglais par Stanislas Berton.

Si j’habitais en Ukraine, j’aurais sans doute des préoccupations plus importantes que l’accès hors-saison à des fruits rouges périssables. Mais ceci dit, si j’habitais en Ukraine, il serait plus facile pour moi de « vendre » à ma famille et à mes voisins que le monde se trouve en plein milieu d’une guerre conventionnelle et non-conventionnelle. Une des expériences les plus étranges de l’époque actuelle est de refermer l’ordinateur qui se trouve sur mon bureau, après des heures passées à travailler sur la poussière intelligente et les IA rebelles, pour ensuite me rendre au supermarché afin de remplir le frigo. J’aime accompagner mon petit déjeuner de framboises et de myrtilles, et étant quelqu’un de très attaché à ses petites habitudes, je n’aime pas tout ce qui peut venir perturber ma routine.

Les soldats de la Première Guerre mondiale pouvaient détecter la fumée jaune et l’odeur chimique d’une attaque et crier « Gaz ! Gaz ! » pour être ensuite considérés comme des héros. Durant la pandémie de Covid, nous avons à juste titre crié « Arme génétique et bactériologique ! Arme génétique et bactériologique ! »  avec comme seul résultat de nous retrouver moqués, exclus et aliénés. Plus vous avez conscience des armes invisibles de cette guerre silencieuse, plus vous semblez fou à ceux qui en sont les victimes. La vie devient un numéro d’équilibriste entre deux réalités très distinctes : dans l’une, des armes exotiques prennent le contrôle de toute vie biologique pour en réécrire la définition ; dans l’autre, vous devez trouver une pièce pour votre voiture sur Ebay car le modèle est trop vieux pour qu’elle soit encore en stock. Il existe une friction permanente entre l’extrême et l’ordinaire qui ne cesse jamais.

Ce grand écart permanent finit par impacter votre santé mentale. Ceux qui font partie de la communauté du renseignement ont des taux très élevés d’alcoolisme, d’addiction sexuelle ou de divorce car ils utilisent des façons peu saines de faire diminuer le stress causé par le fait que leur travail clandestin leur impose une double vie. D’autres se mettent à écrire des romans car c’est pour eux la seule façon de dire la vérité. Pour le reste d’entre nous, la partie difficile à gérer est  que nous pouvons crier les « secrets » sur tous les toits aussi forts que nous le voulons, peu de personnes sont prêtes à nous écouter. Nous devons admettre que nous sommes cernés par toutes sortes de menaces invisibles et nous devons trouver des mécanismes compensatoires nous permettant de « devenir fous afin de rester sains d’esprit ». Être conscient des dangers de la vie ordinaire sans pour autant vivre dans la paranoïa demande un effort constant.

Le supermarché lui-même a des rayons entiers de produits toxiques auxquels je ne touche pas et malgré cela, il faut tout de même trouver le moyen de se nourrir avec ce qu’il reste. Suite au Covid, je vis dans la peur, tout à fait raisonnable, qu’une nouvelle salve de confinements arrive sans prévenir, qu’un krach financier ferme les commerces ou plus généralement que la société soit confrontée à une situation de « rupture de normalité ». Tout ceci s’est transformé en obsession de ne pas être pris au dépourvu. Je ne peux pas supporter de voir mon frigo se vider. On y trouve toujours beaucoup de lait, souvent au-delà de la date de péremption. Les étagères du bas sont remplis de fromage. Et j’achète souvent bien plus de viande que ce dont j’ai vraiment besoin. Dans le cadre de cette violence psychologique auto-infligée, l’idée que je ne puisse pas avoir mes framboises au petit déjeuner est devenu une sorte de totem représentant l’illusion du contrôle dans un contexte hors de tout contrôle.

Un membre masculin de ma famille a grandi dans un foyer avec un père vétéran souffrant de stress post-traumatique, tout en ayant perdu sa mère quand il était adolescent. À un moment de sa vie, il s’est mis à acheter de façon compulsive des CD de musique classique et des chemises en promotion en guise de réponse à un traumatisme non guéri. L’attaque psychologique de nature militaire menée contre nous en 2020-2021 a également des répercussions sur notre santé dont les effets sont exacerbés par le nombre de nos proches aspirés par la folie collective et qui, s’ils en sont toujours prisonniers, sont devenus pour nous des étrangers. Je scrute mes propres réactions aux blessures invisibles de cette guerre furtive. Par exemple, je ne peux pas laisser le réservoir de ma voiture à moitié vide et je m’assure d’avoir toujours fait le plein, même pour des petits trajets.

Il est assez évident que de profonds bouleversements sont en cours. Les gouvernements qui nous ont trahi seront renversés, les criminels qui nous ont blessés devront rendre des comptes et de nouveau systèmes d’argent, d’énergie et de médecine remplaceront ceux qui ont échoué. Tout cela se déroule selon une chronologie sur laquelle je n’exerce aucun contrôle et sur laquelle je n’ai aucune visibilité. Jusqu’à ce que le dernier coup de sifflet retentisse et que le marathon soit terminé, chaque jour fait office de véritable test d’endurance visant à surmonter « le poison de la patience ». Des décisions de la vie de tous les jours, comme faire ou non de longs trajets pour aller voir des amis, deviennent, dans le cadre de cette guerre furtive, de grandes opérations logistiques. Comme une femme battue, vous êtes toujours à l’affût de la prochaine « main levée » dans votre environnement pour anticiper le coup.

La tentation est de chercher des réponses matérielles à un problème de nature spirituelle. Mon vice personnel est d’essayer de deviner le timing du « grand événement » de façon à pouvoir fièrement m’emparer de la « dernière framboise de chez Tesco » [grande chaîne de supermarché anglaise] avant la fin du monde. Je sais bien que ce n’est pas rationnel. Je n’ai pas réellement besoin d’un fruit qui commence à pourrir quelques secondes après que je sois arrivé à la maison. Ces préoccupations sont des dadas ou des petites manies qui permettent à notre attention de se détourner des véritables horreurs auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés : des armes à énergie intégrées au mobilier urbain, des rayons de la mort venus du ciel et au-delà, des nanorobots injectés dans nos corps, des cochonneries pulvérisées dans les nuages et des choses bien pires encore. Nous avons été témoins de la corruption de la science mais nous n’avons pas encore vu les moyens de la juguler.

La nécessité de faire des réserves est une réaction instinctive face au risque d’effondrement économique, voire de famine. Toute réaction à ce risque, quelle soit celle du survivaliste forcené ou du parasite fantasque, peut se trouver justifiée selon le choix sélectif du scénario envisagé. J’ai appris que se préparer à un changement non conventionnel et imprévu est davantage une question de préparation mentale ou spirituelle que matérielle. Si une alarme annonçant une Troisième Guerre mondiale nucléaire se mettait à retentir, ma première réaction serait de sourire à cette mère de toutes les psy-ops que serait l’injonction à « rentrer chez vous pour votre propre sécurité ». Je n’aurais même pas besoin de courir pour rentrer chez moi avec mon stock de framboises fraîches et juteuses, achetées idéalement quelques instants avant que les sirènes se taisent et que les caisses ne soient fermées.

Mon « besoin » de sur-remplir mon frigo me sert généralement à camoufler un autre type de problème émotionnel. Je peux être en train de faire le deuil d’une relation perdue, d’être préoccupé par un problème de santé ou d’être stressé par une interaction non désirée avec un membre de l’administration. J’ai accepté il y a longtemps que si le prix à payer pour un sentiment de stabilité intérieure était de gâcher un peu de nourriture, cela n’était pas si grave. Personne n’a jamais essayé auparavant de combattre au sein d’une alliance civile et militaire durant une guerre bio-informationnelle. Chacun d’entre nous doit développer ses propres techniques de survie mentale afin de préserver notre capacité à gérer un flux, en apparence infini, d’injustices et d’incertitudes.

Ma propre quête pour m’emparer de la « dernière framboise de chez Tesco » (avant la fin de la civilisation telle que nous la connaissons) m’apparaît comme plutôt cocasse que chaotique, folle ou dysfonctionnelle. Peut-être ferons-nous l’expérience d’un atterrissage en douceur et de telles catastrophes ne se produiront pas ; ou nous connaîtrons un nouveau Déluge et mes compétences de devin et de chasseur-cueilleur de produits frais se trouveront justement récompensées. Mes précieuses framboises symbolisent la vie dans cette guerre totalement folle pour libérer l’humanité des chaînes de l’esclavage : douces au palais si nous les manipulons avec précaution mais facilement abîmées si nous n’en prenons pas soin.

Chacun a sans doute sa façon unique de gérer le stress de ces derniers jours d’attente de la fin de la l’ancien monde. Nous sentons intuitivement qu’un grand changement arrive et qu’il affectera tout ce que nous connaissons. Des nombreux indices ont été communiqués pour nous préparer mentalement à cet événement, sans pour autant dévoiler le timing opérationnel. Nous avons le profond désir de nous réconcilier avec ceux dont nous avons été séparés, de voir ceux qui nous ont nui rendre des comptes et de trouver la paix grâce à la reconnaissance de notre prescience. En attendant, il y a des petits plaisirs qui nous aident à tenir bon. Le mien étant les framboises bien mûres de chez Tesco.

Pour aller plus loin:

De la guerre invisible (Martin Geddes)

Des bonnes questions (Martin Geddes)

Largement inconnu en France, Martin Geddes, auteur de plusieurs livres, de dizaines d’essais et d’un travail colossal de réinformation sur les réseaux sociaux, est un des acteurs majeurs du Grand Réveil. Tous les écrits de Martin Geddes, libres de droits et en accès libre, peuvent être consultés ici.