« Défiez-vous, disait-il, de ces cosmopolites qui vont chercher loin de leur pays des devoirs qu’ils dédaignent accomplir chez eux. Tel philosophe aime les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins. » Jean Jacques Rousseau
« La diversité est une chance », « La diversité est une force ».
Cette affirmation est devenue un lieu commun du discours politique qui, à force d’être répétée, a fini par s’imposer comme une vérité.
Pourtant, cette affirmation ne repose sur aucune base réelle.
Elle est un dogme, un article de foi dont la fausseté a été démontrée à plusieurs reprises par l’analyse scientifique.
En 2007, le professeur Robert Putnam, sociologue à Harvard, de surcroît marqué à gauche, a démontré dans une série de brillantes études consacrées au délitement du lien social que l’augmentation de la diversité entraînait la diminution de la confiance et du lien social au sein des communautés.
Plus récemment, une meta-analyse menée à partir de 87 études par des chercheurs danois de l’université de Copenhague et d’Aarhus a confirmé que la diversité ethnique impactait de façon négative la confiance au sein des groupes.
Dans le même registre le sociologue finlandais Tatu Vanhanen a démontré en 1999 comment le multiculturalisme était facteur de multiconflictualité à cause notamment de ce qu’il a appelé le « népotisme ethnique ».
La diversité n’est donc pas une force.
C’est un facteur de destruction des communautés naturelles et ceux qui continuent de la promouvoir témoignent soit d’une profonde ignorance, soit d’une volonté délibérée d’engendrer le chaos.
Dans tous les cas, il est grand temps que la diversité cesse d’être présentée comme un souverain bien et que ceux qui défendent publiquement cette idée soient considérés comme des charlatans et des imposteurs.